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26/12/2025

L'exercice préféré de Ukkima pour le passage du niveau 1 du Cooperative Care Certificate proposé par !

Dans la seringue, il y a le jus de cuisson de sa ration ménagère à base de colin, courgettes et riz ! Comme elle est actuellement en régime d'éviction alimentaire, à cause de sa MICI...

Merci à pour les vidéos, ainsi que pour la vérification des consignes 🫣

Maintenant on attend les résultats !!!!

Pour votre confiance, pour votre soutien, pour nos échanges, pour vos recommandations : MERCI ! Si vous le souhaitez vou...
24/12/2025

Pour votre confiance, pour votre soutien, pour nos échanges, pour vos recommandations : MERCI ! 

Si vous le souhaitez vous pouvez laisser un avis Google 😋

Totalement en accord avec ce texte !
24/12/2025

Totalement en accord avec ce texte !

Les extrêmes ne sont jamais bons.
Ni pour les chiens. Ni pour les humains.

Récemment, dans le monde de l’éducation canine, nous avons assisté à une scène qui illustre parfaitement cette dérive. Une éducatrice a utilisé un collier électrique et a expliqué son comportement, son raisonnement, sa vision des choses. Je tiens à le dire clairement : je suis contre l’utilisation du collier électrique. Mais ce qui m’a presque davantage heurtée que cet acte en lui-même, ce sont les réactions qui ont suivi.
Au lieu de discussions, il y a eu des lynchages. Au lieu d’arguments, des moqueries. Au lieu de réflexion, du harcèlement, de la dénégation, des attaques personnelles. Et c’est là le réel problème. Parce qu’on ne peut pas prétendre défendre des valeurs comme le respect, l’éthique ou le bien-être, et les balayer complètement dès qu’il s’agit d’êtres humains. Je ne suis pas d’accord avec le premier camp, mais vous savez quoi ? J’ai presque encore moins adhéré au second.

Le monde du chien ressemble de plus en plus à la politique. On a l’impression que la raison a déserté le débat, qu’il faut choisir un camp, être pour ou contre, sans nuances. Les extrêmes sont plus séduisants, plus visibles, plus vendeurs. La réflexion, elle, prend du temps, et aujourd’hui le temps est devenu une denrée rare. Pourtant, ce sont précisément les sujets complexes qui demandent de la nuance, de la lenteur, et un minimum d’honnêteté intellectuelle.

La santé n’échappe pas à cette dérive. Les vétérinaires sont parfois décrits comme des voleurs, la médecine comme intéressée ou dépassée. Dans le même temps, certains n’hésitent pas à dépenser des sommes considérables pour des communications animales, des séances de naturopathie, kinésiologie, des croquettes "sur mesure" ... tout en hésitant à vacciner un chiot contre la parvovirose. Ce paradoxe est profondément inquiétant.

En éducation et en rééducation canine, pourtant, certaines choses sont établies. On sait que l’apprentissage fonctionne mieux sans peur. Ce n’est pas une opinion, c’est scientifique. Le cortisol, hormone du stress, favorise des réponses de survie : fuite, figement, agressivité. Ce n’est pas un terrain favorable à l’apprentissage, à la mémorisation ou à la prise de décision. Un chien sous stress apprend moins bien, réagit plus qu’il ne réfléchit. Sur ce point, il n’y a rien de révolutionnaire à dire : c’est cartésien.

Mais doit-on pour autant basculer dans l’extrême inverse ? Tout laisser choisir au chien, le surhumaniser, lui attribuer des intentions ou des responsabilités émotionnelles qui ne sont pas les siennes ? Lui donner des missions censées le “réparer” ou le “guider”, alors qu’elles génèrent souvent plus d’angoisse que de liberté ? À force d’interpréter chaque comportement comme un message complexe, on en oublie parfois une évidence pourtant fondamentale : le chien est une espèce différente de la nôtre.

Il y a aussi un aspect qui me rend littéralement malade, et que j’ai du mal à taire : le chien objet, le chien vitrine. Je ne parle pas des chiens d’exposition, car je ne connais pas ce milieu. Je parle des chiens de sport, de “travail”, de ceux que l’on collectionne. Des chiens dont la vie entière est dédiée à une activité imposée. Aucun problème à passer un temps hors norme en cage ou en chenil, à n’avoir aucun plaisir en dehors du travail, à ne pas être promenés parce qu’ils pourraient se blesser, ou pire encore, éprouver du plaisir en dehors de l’activité.

Certains pays, souvent présentés comme plus avancés que nous en sport canin, sont régulièrement érigés en modèles. Personnellement, ils me mettent profondément mal à l’aise. Dans certains circuits de haut niveau, notamment aux États-Unis, en Europe de l’Est ou dans les pays nordiques, la performance prime sur tout le reste. Les chiens vivent majoritairement en cage ou en chenil, sortent essentiellement "pour travailler", et n’ont que très peu de place pour une vie en dehors de "leur fonction". Tout est contrôlé : l’alimentation, les interactions, les déplacements, les plaisirs. Le principe du “nothing is free in life” est poussé à l’extrême, au point que le chien n’existe plus que par et pour l’activité.

Oui, les résultats sont impressionnants. Oui, les performances sont spectaculaires. Mais à quel moment a-t-on décidé que la réussite sportive devait primer sur la vie du chien elle-même ? À quel moment a-t-on considéré comme acceptable qu’un chien soit performant, mais jamais libre, bien entraîné, mais jamais simplement vivant ? Il n’est pas assez bon ? Ce n’est pas grave, il y en a d’autres derrière.

Ce qui me frappe aussi, c’est de voir des investissements colossaux dans des manteaux, des produits de récupération sportive, des séances d’hydrothérapie pour préparer une saison, alors que la base n’est parfois pas assumée : s’occuper de son chien, simplement. Le faire entrer dans la maison. Le promener pour lui, pas pour une fonction. Lui laisser le choix de se poser quelque part. Lui offrir du temps, de la présence, une relation qui ne soit pas conditionnée à une activité ou à une performance.
J’ai parfois l’impression que certains aiment le chien uniquement à travers l’activité qu’ils pratiquent avec lui. Comme si le chien n’existait qu’en tant que support de projection, de réussite ou de reconnaissance sociale. Et ça, je l’avoue, me dépasse profondément et me dégoûte.

On a tous, un jour ou l’autre, eu des comportements discutables avec nos chiens, et nous en aurons probablement encore après ce texte. Nous sommes humains, donc imparfaits.
Mais lorsque ces comportements deviennent la norme, lorsque les extrêmes deviennent des étendards, lorsque la violence qu’elle soit physique ou morale est justifiée par une idéologie ou une prétendue bonne cause, alors oui, c’est plus qu’inquiétant.
C’est facile de crier au scandale lorsqu’une personne étrangle un chien en public. Mais est-ce réellement plus acceptable de prendre un chien pour une activité, de lui dédier toute sa vie, et de bafouer complètement ses besoins fondamentaux sous couvert de performance ?

Oui, il est bien nourri, bien complémenté, bien « instagrammé ». Mais rentre-t-il dans la maison ? A-t-il des balades quotidiennes pour lui ? Peut-il choisir où se poser ? Passe-t-il l’essentiel de sa vie en cage, attaché ou au chenil, non pas pour une courte durée sécuritaire, mais comme mode de vie ?
Certaines personnes donneraient tout pour avoir quelques semaines de plus avec leur vieux compagnon, pendant que d’autres, une fois le chien jugé trop âgé ou moins performant, préfèrent le mettre de côté et en recommencer avec d’autres.

On dit souvent que le chien est le meilleur ami de l’homme.
Mais parfois, je me demande sincèrement si nous sommes à la hauteur d’être le sien.

Être bienveillant·e avec les chien·nes c'est bien, mais il est tout aussi essentiel de l'être avec les humain·es 🥰 En ta...
22/12/2025

Être bienveillant·e avec les chien·nes c'est bien, mais il est tout aussi essentiel de l'être avec les humain·es 🥰
En tant qu'éducatrice et comportementaliste canin, on accompagne des familles ! 

J'essaie de faire au mieux sur ces points, en vous écoutant, en essayant de vous comprendre, en demandant le consentement si je dois m'approcher ou toucher une épaule ou une longe, en me formant sur les violences éducatives ordinaires, le sexisme, le racisme, et autres sujets.... 

Mais certaines fois, c'est plus compliqué, que ça soit par fatigue, surcharge, tension en face, ou autres. Ce n'est jamais une excuse, et lorsque l'on me fait des remarques constructives, je me remets en question pour améliorer mon accompagnement 🙂 

Merci aux personnes que j'ai accompagné ce weekend pour votre bienveillance à mon égard 😘

Le point positif de la semaine : Ce qui nous a rendu heureux cette semaine avec nos animaux 😁Ce weekend Ukkima a souhait...
21/12/2025

Le point positif de la semaine : Ce qui nous a rendu heureux cette semaine avec nos animaux 😁

Ce weekend Ukkima a souhaité rester avec mon mari pendant que j'animais un stage de Humantrailing. Elle a su me l'exprimer clairement, et l'organisation de ce weekend m'a permise de pouvoir respecter son envie 🎉 merci à de s'en être occupé 🥰

Racontez-moi vos anecdotes, et n'hésitez pas à partager une photo 😍 Sur la photo vous pouvez voir Ukkima posée à côté de moi dans la salle d'attente de la kiné (seule photo d'elle que j'ai prise cette semaine 🫣)

Le témoignage de la semaine !
19/12/2025

Le témoignage de la semaine !

18/12/2025

Suite à un accompagnement en médical training depuis ses deux mois, les manipulations par une tierce personne à la maison sont ok pour Ukkima 😁

Elle est capable de rester statique sur une surface non glissante, de me faire confiance lorsque je le lui demande, même lorsque ce n'est pas agréable ! Ces apprentissages sont également intéressants pour les soins du quotidien, pour les visites vétérinaires, mais également pour sa capacité de résilience et sa confiance en elle 🥰

PS: le léchage de babines lorsqu'elle se pose vient de l'ingestion d'une friandise plusieurs minutes auparavant, à cause de sa gastrite chronique 😉

17/12/2025

Le premier weekend flair 🤩

Le point positif de la semaine : Ce qui nous a rendu heureux cette semaine avec nos animaux 😁Vendredi, Ukkima a baladé s...
14/12/2025

Le point positif de la semaine : Ce qui nous a rendu heureux cette semaine avec nos animaux 😁

Vendredi, Ukkima a baladé sereinement avec Thémis, Poppy, Sirius et Soka et c'était très chouette 😄 des croisements congénères réussis en groupe et de nombreux échanges avec les habitant.es ! 

Racontez-moi vos anecdotes, et n'hésitez pas à partager une photo 😍 Sur la photo vous pouvez voir Ukkima à côté des trois borders 🙂

Quelle est votre photo préférée ? 😁- Rmione et Ukkima devant le chat de la voisine - Ukkima sous la douche - Ukkima sur ...
10/12/2025

Quelle est votre photo préférée ? 😁

- Rmione et Ukkima devant le chat de la voisine 

- Ukkima sous la douche 

- Ukkima sur le Hirnelestein

- manger un sandwich devant Ukkima en voiture 

- oreille au vent

- Albator et le sac à dos 

- la première neige des Vosges 

- Skaï et les craies grasses

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68700

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Présentation

Je m’appelle Carole Decorsaire, et j’ai grandi au milieu d’animaux de toutes sortes grâce à mon père vétérinaire. J’ai ainsi pu les observer et ma passion pour eux n’a fait que grandir. Après un début dans la vie active en tant qu’ingénieure mécanique, ma passion a pris le dessus et j’ai choisi de me réorienter. J’habite actuellement à Aspach-le-bas dans le Haut-Rhin (68).

A la recherche d’une meilleure compréhension des besoins des animaux, et de la raison d’apparition de certains troubles du comportement, je me suis formée en tant que comportementaliste canin et félin, et éducatrice canine. Mon expérience s’enrichit par une veille constante et de nouvelles formations, ceci afin de vous apporter les meilleurs conseils.

Mon parcours: