Chatterie de TELL BASTA - Elevage en famille de Maine coon LOOF

Chatterie de TELL BASTA - Elevage en famille de Maine coon LOOF Petit élevage en famille ou la seule chose qui compte : le bien etre de mes amours � 2016 début de l aventure. Deux portées en juillet 2019 et juillet 2021.

je suis amoureuse de ce chat majestueux d une beauté qui me laisse toujours en administration� Le Temple a sous sa protection 5 maine c**n que vous découvriez en nous suivant. Nous sommes au diapason de Dame Nature c est elle qui décident...
Je ne pourrai jamais plus vivre sans ces beautés. Aujourd’hui nous sommes « Pro » avec siret mais rien ne change à ma façon d être � la santé de mes amours est Ma Priorité. Je les aime d un Amour Fou. Christine

Cela peut aider 😉
10/06/2025

Cela peut aider 😉

♥️ Pulsar et Snow ♥️
29/05/2025

♥️ Pulsar et Snow ♥️

🧡 Petit coucou de mon Roi Snow 🧡
29/05/2025

🧡 Petit coucou de mon Roi Snow 🧡

♥️ Kiara et son fils Pulsar ♥️On est bien dans le patio 😉
29/05/2025

♥️ Kiara et son fils Pulsar ♥️
On est bien dans le patio 😉

24/03/2025

(Texte d’une éleveuse qui a tout dit)

Je pense que tout bon éleveur est névrosé. Complètement. Une névrose profonde, saupoudrée d’une belle dose de masochisme.

L’éleveur sélectionne ses reproducteurs avec une précision chirurgicale, dans l’espoir de faire de magnifiques bébés bien dans le standard. Il les scrute sous toutes les coutures, les examine comme un expert en expertise.

Puis vient le grand moment : la saillie. Et là, il commence à stresser. Pourvu que ça fonctionne. Pourvu que la gestation aille à son terme. Pourvu que tous les bébés naissent vivants. Et respirent. Et bougent. Et que personne ne décide de claquer entre-temps, tiens.

Puis la mise bas arrive… et là, l’éleveur continue de stresser. Pourvu que maman chat m’attende si jamais je suis au boulot. Pourvu que tout se passe bien. Pourvu qu’il n’y ait pas besoin de césarienne. Pourvu que les bébés soient vivants. Et surtout… pourvu que maman survive.

Parfois, tout se passe bien. Parfois, c’est la catastrophe. On perd des bébés. Parfois pire, on perd la maman. Alors, on partage nos galères sur les réseaux, on se soutient, on pleure ensemble… Et surtout, on découvre mille et une nouvelles façons de perdre une maman ou des bébés. Parce qu’on n’avait pas encore assez d’angoisses, visiblement.

Alors l’éleveur continue de stresser.

Il aide pendant la mise bas, assiste à la naissance, affronte la mort. Ce grand écart émotionnel où, après avoir tenté de réanimer un bébé pendant une demi-heure, il faut lâcher prise… parce qu’un autre arrive. Et celui-là, miracle ! Il vit ! Une joie immense, mêlée à la tristesse de l’échec d’avant. Ambigu, non ?

Mais ça y est, ils sont là ! Les bébés ! L’éleveur pourrait enfin respirer… Eh bien non. Il stresse encore. Parce qu’il les aime déjà et veut que tout le monde survive.

Alors, il les pèse plusieurs fois par jour. Il les retourne dans tous les sens. Une fente palatine ? Non ? Ouf ! Des côtes plates ? Non ? Ouf ! Un a**s ? Oui ! Génial ! Tout est là ? Pattes, queue, doigts ? Alléluia ! On remercie le ciel.

Et encore, ça, c’est quand il n’y a pas de problème... quand on ne doit pas prendre d'affreuses décisions.

Et on prend soin des bébés. Parfois, on biberonne. On les observe grandir jour après jour. On passe des heures à les regarder dormir.

Puis vient la diversification alimentaire. Et devinez quoi ? L’éleveur stresse ! Il espère qu’il n’y aura pas de diarrhée. Que les petits accepteront la nourriture. Qu’ils ne feront pas la fine bouche comme des divas étoilées Michelin.

Et les bébés grandissent encore… et commencent à s’échapper du parc.

Alors, on sécurise tout. On planque les fils électriques, on déplace les meubles. Et, malgré tout, ils trouvent le moyen de grimper partout. Alors, on leur crée des parcours de descente pour éviter les atterrissages catastrophiques. On croit avoir tout prévu… jusqu’à ce qu’un bébé décide de se coincer la patte dans la chatière. Ces petits génies du chaos ont un talent inné pour se mettre en danger.

Alors, quand l’éleveur doit partir bo**er, il stresse. Évidemment.

Les premières vaccinations arrivent, et… surprise ! L’éleveur stresse encore. Pourvu qu’ils ne choppent rien chez le véto. Pourvu qu’ils ne réagissent pas mal au vaccin.

Puis vient le moment des réservations. L’éleveur observe, pose mille questions, scrute les futurs adoptants avec un regard de détecteur à intentions douteuses. Il choisit les meilleures familles… et a quand même un pincement au cœur.

Le reste du temps ? Il s’occupe des petits. Il joue, câline, dorlote, nettoie sans fin.

Et un jour, ils sont grands. Trop grands pour qu’on puisse justifier de les garder encore un peu. Alors, c’est l’heure des adoptions.

L’éleveur a passé des mois à tout leur donner. À tourner sa vie autour d’eux. Et puis, il doit les arracher à son quotidien pour les confier à une autre famille. Parce que c’est ça, élever, non ?

Faire le bonheur d'une famille, c'est pour ça qu'on élève !

Bref, l’éleveur est complètement ravagé du ciboulot.

(Je rajouterai même que tout ce stress, est imputer et projeter sur notre entourage proche qui se sent impuissant devant notre détresse et qui malgré tout essaie de nous soutenir)

Petit coucou d une partie de la Tribu ♥️
19/03/2025

Petit coucou d une partie de la Tribu ♥️

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38110

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