Cabinet vétérinaire médico-chirurgical du Dr Coupry

Cabinet vétérinaire médico-chirurgical du Dr Coupry Dr Vincent COUPRY, vétérinaire
Diplôme - de vétérinaire comportementaliste
- de droit et expertise

04/11/2025

✨ Cap sur Angers pour le Salon Arts & Saveurs

Je serai au Salon Arts & Saveurs du 7 au 9 novembre, aux côtés d’artisans, créateurs et producteurs d’Anjou.
Un moment idéal pour préparer vos cadeaux de Noël et faire de belles découvertes locales 🌿

Sur mon stand, vous trouverez mes savons saponifiés à froid, mes huiles douces, mes lessives écologiques et quelques accessoires, fabriqués à Cholet à partir d’ingrédients bio, locaux et végétaux.

🎟️ Billetterie en ligne :
https://angers.a-p-c-t.net/Salon%20Arts%20%26%20Saveurs/2025/billetterie

📍 Centre des Congrès Jean Monnier – Angers
📅 7, 8 et 9 novembre 2025

Souvent on me demande pourquoi je prescris les croquettes Royal Canin à leur chatJe répondais :       😀Parce qu'elles so...
04/11/2025

Souvent on me demande pourquoi je prescris les croquettes Royal Canin à leur chat
Je répondais :
😀Parce qu'elles sont bonnes pour sa santé

Aujourd'hui je rajouterai :
😅Parce qu'elles sont bonnes tout court

Le cabinet vétérinaire est fermé aujourd'hui mais ce ne sont pas des vacances. Nous sommes toute l'équipe en congrès pro...
17/10/2025

Le cabinet vétérinaire est fermé aujourd'hui mais ce ne sont pas des vacances. Nous sommes toute l'équipe en congrès professionnel en voisin. Car pour ceux qui reconnaissent, le congrès se déroule au Puy du Fou.
Se former en permanence est un impératif pour être toujours au top pour nos patients.

la maltraitance commence par l'absence de soins.
14/10/2025

la maltraitance commence par l'absence de soins.

MARDI CONSEIL | 🐾 Face à la recrudescence des cas de maltraitance animale, la police nationale renforce ses dispositifs d’action et de détection. Vous êtes témoin de maltraitance ? RDV en commissariat ou signalez-le en ligne sur Ma Sécurité via le formulaire dédié 👉 https://www.masecurite.interieur.gouv.fr/fr/signaler-une-maltraitance-animale

Aujourd’hui, je vais parler neurologie, plus exactement des neurones miroirs. Comme vous le savez peut-être, on estime q...
24/09/2025

Aujourd’hui, je vais parler neurologie, plus exactement des neurones miroirs. Comme vous le savez peut-être, on estime que le cerveau est composé de près de 100 milliards de neurones connectés entre eux par quelques 1000 à 100000 connexions partant de chaque neurone. Ces connexions sont appelées synapse. On a donc à peu près un milliard de milliards de synapses dans un cerveau d’adulte.

Ces neurones vont se répartir entre autres entre neurones sensoriels, qui font remonter l’information depuis les organes sensoriels, oeil, oreille, peau, ... vers le système nerveux central et les neurones moteurs qui envoient les commandes du cerveau vers les muscles et les glandes. Chaque neurone correspond à une commande spécifique et ne répondra pas lors d’une autre commande. Par exemple le neurone de flexion d’un doigt ne réagira pas à l’extension de ce doigt.

Vous voulez en savoir plus sur les neurones miroirs, écoutez notre nouvelle chronique sur Sun

https://lesonunique.com/mysun/podcast/21192

08/08/2025

Écrit par un vétérinaire.

Un jour, j’ai recousu la gorge d’un chien avec du fil de pêche, à l’arrière d’un pick-up, pendant que son propriétaire tenait une lampe torche entre les dents et pleurait comme un enfant.

C’était en 79, peut-être 80. Juste à la sortie d’un petit bled, près de la frontière du Tennessee.
Pas de clinique, pas de table propre, pas d’anesthésie à part un peu de tord-boyaux.
Mais le chien a survécu.
Et cet homme m’envoie encore une carte de Noël chaque année, même si le chien est mort depuis longtemps… et sa femme aussi.

Je suis vétérinaire depuis quarante ans.
Quatre décennies de sang sous les ongles et de poils sur les vêtements.
À l’époque, on faisait avec ce qu’on avait — pas avec ce qu’on pouvait facturer.
Aujourd’hui, je passe la moitié de mes journées à expliquer des codes d’assurance et des plans de financement, pendant qu’un beagle se vide de son sang dans la pièce d’à côté.

Je croyais que ce métier consistait à sauver des vies.
Maintenant je sais : il s’agit surtout de ramasser les morceaux quand tout s’écroule.

J’ai commencé en 1985.
Fraîchement diplômé de l’Université de Géorgie. J’avais encore mes cheveux. Et de l’espoir.
Ma première clinique était un bâtiment en briques, au bout d’un chemin de gravier, avec un toit qui fuyait à la moindre averse.
Le téléphone était à cadran, le frigo faisait un bruit de moteur, et le chauffage ne fonctionnait que quand ça lui chantait.
Mais les gens venaient.
Des fermiers, des ouvriers, des retraités, même des routiers avec des pitbulls assis sur le siège passager.

Ils ne demandaient pas grand-chose.

Une piqûre par-ci. Une suture par-là.
Et l’euthanasie, quand il était temps — et on savait toujours quand c’était le moment.
Il n’y avait pas de débat, pas de culpabilisation sur les réseaux sociaux, pas de “protocoles alternatifs”.
Juste cette entente silencieuse entre une personne et son chien : la souffrance était devenue trop grande.
Et ils me faisaient confiance pour porter ce poids.

Parfois, je prenais mon vieux pick-up et j’allais jusqu’à une grange, là où un cheval s’était cassé la jambe.
Ou bien sur un porche, où un vieux chien n’avait rien mangé depuis trois jours.
Je m’asseyais à côté du propriétaire, je lui tendais un mouchoir, et j’attendais.
Je ne précipitais rien.
Parce qu’à cette époque, on les tenait dans nos bras jusqu’au bout.
Aujourd’hui, les gens signent des papiers et demandent s’ils peuvent “revenir chercher les cendres la semaine prochaine”.

Je me souviens de la première fois où j’ai dû endormir un chien.
Un berger allemand nommé Rex. Il avait été percuté par une moissonneuse.
Son maître, Walter Jennings, vétéran de la Seconde Guerre mondiale, dur comme le fil barbelé et deux fois plus tranchant.
Mais quand je lui ai dit que Rex était perdu, ses genoux ont lâché.
Là, dans ma salle d’examen.

Il n’a rien dit. Il a juste hoché la tête.
Et puis — je ne l’oublierai jamais — il a embrassé le museau de Rex et a murmuré :
« Tu as été un bon chien, mon gars. »
Puis il s’est tourné vers moi :
« Fais-le vite. Ne le fais pas attendre. »

Je l’ai fait.

Cette nuit-là, je n’ai pas dormi.
Je suis resté assis sur mon perron avec une cigarette, à fixer les étoiles jusqu’à l’aube.
C’est là que j’ai compris : ce métier ne parle pas que d’animaux.
Il parle d’amour.
De l’amour que les gens versent dans un être qui, ils le savent, ne vivra jamais aussi longtemps qu’eux.

Nous sommes en 2025 maintenant.
Mes cheveux sont blancs — ce qu’il en reste.
Mes mains ne coopèrent plus toujours. Il y a un tremblement qui n’était pas là au printemps dernier.
La clinique existe toujours, mais elle a maintenant des murs blancs immaculés, un logiciel par abonnement, et un responsable marketing de 28 ans qui me dit de filmer des TikToks avec mes patients.
Je lui ai dit que je préférerais me castrer moi-même.

Avant, on travaillait à l’instinct.
Maintenant, ce sont des algorithmes et des formulaires de responsabilité.

La semaine dernière, une femme est venue avec un bulldog en détresse respiratoire.
Je lui ai dit qu’il fallait l’intuber et le garder en observation.
Elle a sorti son téléphone et m’a demandé si elle pouvait demander un deuxième avis à une influenceuse qu’elle suit en ligne.
J’ai hoché la tête.
Qu’est-ce que tu veux répondre à ça ?

Parfois, je pense à prendre ma retraite.
J’ai failli le faire pendant le COVID.
Un cauchemar.
Des dépôts en voiture sur le parking, des aboiements derrière des portes closes, des masques qui cachaient les larmes.
Des adieux à travers une vitre.
Personne ne les tenait quand ils partaient.

Quelque chose s’est brisé en moi à ce moment-là.

Mais parfois, un enfant entre avec une boîte pleine de chatons trouvés dans la grange de son grand-père, et ses yeux s’illuminent quand je lui permets d’en nourrir un.
Ou je recouds un golden retriever qui s’est frotté de trop près à une clôture barbelée, et le lendemain, son maître m’apporte une tarte aux pacanes.
Ou un vieux monsieur m’appelle juste pour me dire merci — pas pour le soin, mais parce que je suis resté assis avec lui après la mort de son chien, sans dire un mot, laissant le silence faire le travail.

C’est pour ça que je continue.

Parce que malgré tous les changements — les applis, les formulaires, les procès, les diagnostics Google — une chose n’a pas changé :

Les gens aiment toujours leurs animaux comme leur propre famille.

Et quand cet amour est profond, il se manifeste dans des gestes simples.
Une main tremblante posée sur un flanc velu.
Un adieu murmuré.
Un portefeuille vidé sans hésiter.
Un homme adulte qui craque dans mon bureau parce que son chien ne verra pas l’automne.

Peu importe l’époque, la technologie, les tendances — ça, ça ne change pas.

Il y a quelques mois, un homme est entré avec une boîte à chaussures.
Il avait trouvé un chaton près des rails. Patte brisée, couvert de puces, les côtes saillantes comme les touches d’un piano.
Lui-même avait l’air de sortir de l’enfer.
Il m’a dit qu’il venait de sortir de prison, qu’il n’avait pas un sou.
Mais est-ce que je pouvais faire quelque chose ?

J’ai regardé dans la boîte.
Le chaton a ouvert les yeux et a miaulé comme s’il me reconnaissait.
J’ai hoché la tête :
« Laissez-le ici. Revenez vendredi. »

On lui a immobilisé la patte, donné du lait tiède toutes les deux heures, on l’a appelé Boomer.
Vendredi, l’homme est revenu avec une tarte à moitié mangée et des larmes dans les yeux.
Il m’a dit :
« Personne m’a jamais rien rendu sans me demander d’abord ce que j’avais à offrir. »

Je lui ai répondu :
« Les animaux se fichent de ce que tu as fait.
Ils ne regardent que comment tu les tiens dans tes bras. »

Quarante ans.

Des milliers de vies.

Certaines sauvées. D’autres non.

Mais toutes ont compté.

J’ai un tiroir, dans mon bureau.
Fermé à clé.
Personne n’y touche.
À l’intérieur, il y a des vieilles photos, des mots de remerciement, des colliers, des médailles.
Un os à moelle d’un border collie nommé Scout qui a sauvé un enfant de la noyade.
Une empreinte en argile d’un chat qui dormait sur le comptoir d’une station-service.
Un dessin aux crayons de cire d’une petite fille qui m’a écrit que j’étais son héros parce que j’avais aidé son hamster à respirer de nouveau.

Je l’ouvre parfois, t**d le soir, quand la clinique est vide et que mes mains sont enfin calmes.

Et je me souviens.

Je me souviens du temps d’avant.
Avant les écrans.
Avant les applis.
Avant les remèdes de buzz et les contrôles de crédit.

Quand être vétérinaire, c’était rouler dans la boue à minuit parce qu’une vache mettait bas et qu’on était le seul en qui ils avaient confiance.

Quand on recousait avec du fil de pêche… et beaucoup d’espoir.

Quand on les tenait dans nos bras jusqu’à la fin — et qu’on tenait leurs humains aussi.

S’il y a une seule chose que j’ai apprise dans cette vie, c’est celle-ci :

On ne peut pas tous les sauver.

Mais on doit tout faire pour essayer.

Et quand vient le moment de dire adieu…
on reste.
On ne recule pas.
On ne presse rien.
On s’agenouille, on les regarde dans les yeux,
et on reste jusqu’à ce que leur dernier souffle quitte la pièce.

Ça, on ne vous l’enseigne pas.
Ni à la fac. Ni dans les livres.

Mais c’est ça… qui vous rend humain.

Et je ne l’échangerais pour rien au monde.

21/07/2025

"𝐋𝐞𝐬 𝐜𝐫𝐨𝐪𝐮𝐞𝐭𝐭𝐞𝐬, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐦𝐚𝐥𝐛𝐨𝐮𝐟𝐟𝐞"
Une phrase que j'entends encore trop souvent. Et pourtant…

Aujourd’hui, c’est la 🍔
L’occasion parfaite pour recadrer les idées reçues.

Oui, les croquettes sont industrielles.
Oui, elles sont ultratransformées.

Mais savez-vous ce qui, en alimentation humaine, est également industriel, ultratransformé et très proche des croquettes pour chien ou chat ?

𝗟𝗲 𝗹𝗮𝗶𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗯𝗲́𝗯𝗲́ 🍼

Et pourtant, vous ne le qualifieriez pas de malbouffe. Pourquoi? Parce qu’il est complet, équilibré et formulé pour couvrir des besoins nutritionnels spécifiques.

C’est exactement pareil pour certaines croquettes pour animaux de compagnie.

La malbouffe, en nutrition humaine, c’est :

🧈 trop de graisses
🍬 trop de sucres
🍗 trop peu de protéines
🥦 trop peu de fibres

Pour nos chiens et nos chats, les croquettes ne contiennent pas de sucre ajouté.
Et il existe des formules pauvres en graisses, riches en protéines et en fibres, notamment dans les formules pour la perte de poids.

Alors NON, les croquettes ne sont pas de la malbouffe. Pas quand elles sont bien formulées et bien choisies.

Tu veux apprendre à conseiller les bonnes références à tes client·es ?
Les inscriptions à nos formations en nutrition du chien et du chat sont ouvertes jusqu’au 31 juillet 👉 https://arginine-formation.com/

Adresse

73 Avenue De La Libération
Cholet
49300

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Lundi 08:00 - 19:00
Mardi 08:00 - 12:30
14:00 - 19:00
Mercredi 08:00 - 19:00
Vendredi 08:00 - 19:00
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