Coiffure Canine

Coiffure Canine Coiffure Canine c’est douceur , écoute, à chacun sont rythme ♥️🧚‍♀️ chien 🐶 et chat 🐈

Étant bien établis dans le domaine depuis 1999, Marie-Michelle Turmel à réussi à monter une équipe d'expérience, passionnée et à l'écoute de l'animal mais aussi de son maître.

​Nous sommes toujours a l’affût de nouvelles formations afin de peaufiner notre art. Nous offrons des coupes stylisées, comme les coupes aux ciseaux, le stripping, coloration ainsi que plusieurs autres services qui saurons

vous satisfaire. Nos produits haut de gamme, nous outils de travail et notre équipement à la fine pointe assure un service professionnel et sécuritaire. Une visite vous convaincra.

​Au plaisir de vous rencontrer avec votre animal.

​- L'équipe de Coiffure Canine

08/17/2025
08/17/2025

Aidons SOS Miss Dolittle, Centre d'aide pour animaux sauvages sans relâche pour les animaux en détresse ♥️🙏

Bravo ma belle Roxane Mainguy♥️🙏🥰🤗

08/06/2025

Écrit par un vétérinaire.

Un jour, j’ai recousu la gorge d’un chien avec du fil de pêche, à l’arrière d’un pick-up, pendant que son propriétaire tenait une lampe torche entre les dents et pleurait comme un enfant.

C’était en 79, peut-être 80. Juste à la sortie d’un petit bled, près de la frontière du Tennessee.
Pas de clinique, pas de table propre, pas d’anesthésie à part un peu de tord-boyaux.
Mais le chien a survécu.
Et cet homme m’envoie encore une carte de Noël chaque année, même si le chien est mort depuis longtemps… et sa femme aussi.

Je suis vétérinaire depuis quarante ans.
Quatre décennies de sang sous les ongles et de poils sur les vêtements.
À l’époque, on faisait avec ce qu’on avait — pas avec ce qu’on pouvait facturer.
Aujourd’hui, je passe la moitié de mes journées à expliquer des codes d’assurance et des plans de financement, pendant qu’un beagle se vide de son sang dans la pièce d’à côté.

Je croyais que ce métier consistait à sauver des vies.
Maintenant je sais : il s’agit surtout de ramasser les morceaux quand tout s’écroule.

J’ai commencé en 1985.
Fraîchement diplômé de l’Université de Géorgie. J’avais encore mes cheveux. Et de l’espoir.
Ma première clinique était un bâtiment en briques, au bout d’un chemin de gravier, avec un toit qui fuyait à la moindre averse.
Le téléphone était à cadran, le frigo faisait un bruit de moteur, et le chauffage ne fonctionnait que quand ça lui chantait.
Mais les gens venaient.
Des fermiers, des ouvriers, des retraités, même des routiers avec des pitbulls assis sur le siège passager.

Ils ne demandaient pas grand-chose.

Une piqûre par-ci. Une suture par-là.
Et l’euthanasie, quand il était temps — et on savait toujours quand c’était le moment.
Il n’y avait pas de débat, pas de culpabilisation sur les réseaux sociaux, pas de “protocoles alternatifs”.
Juste cette entente silencieuse entre une personne et son chien : la souffrance était devenue trop grande.
Et ils me faisaient confiance pour porter ce poids.

Parfois, je prenais mon vieux pick-up et j’allais jusqu’à une grange, là où un cheval s’était cassé la jambe.
Ou bien sur un porche, où un vieux chien n’avait rien mangé depuis trois jours.
Je m’asseyais à côté du propriétaire, je lui tendais un mouchoir, et j’attendais.
Je ne précipitais rien.
Parce qu’à cette époque, on les tenait dans nos bras jusqu’au bout.
Aujourd’hui, les gens signent des papiers et demandent s’ils peuvent “revenir chercher les cendres la semaine prochaine”.

Je me souviens de la première fois où j’ai dû endormir un chien.
Un berger allemand nommé Rex. Il avait été percuté par une moissonneuse.
Son maître, Walter Jennings, vétéran de la Seconde Guerre mondiale, dur comme le fil barbelé et deux fois plus tranchant.
Mais quand je lui ai dit que Rex était perdu, ses genoux ont lâché.
Là, dans ma salle d’examen.

Il n’a rien dit. Il a juste hoché la tête.
Et puis — je ne l’oublierai jamais — il a embrassé le museau de Rex et a murmuré :
« Tu as été un bon chien, mon gars. »
Puis il s’est tourné vers moi :
« Fais-le vite. Ne le fais pas attendre. »

Je l’ai fait.

Cette nuit-là, je n’ai pas dormi.
Je suis resté assis sur mon perron avec une cigarette, à fixer les étoiles jusqu’à l’aube.
C’est là que j’ai compris : ce métier ne parle pas que d’animaux.
Il parle d’amour.
De l’amour que les gens versent dans un être qui, ils le savent, ne vivra jamais aussi longtemps qu’eux.

Nous sommes en 2025 maintenant.
Mes cheveux sont blancs — ce qu’il en reste.
Mes mains ne coopèrent plus toujours. Il y a un tremblement qui n’était pas là au printemps dernier.
La clinique existe toujours, mais elle a maintenant des murs blancs immaculés, un logiciel par abonnement, et un responsable marketing de 28 ans qui me dit de filmer des TikToks avec mes patients.
Je lui ai dit que je préférerais me castrer moi-même.

Avant, on travaillait à l’instinct.
Maintenant, ce sont des algorithmes et des formulaires de responsabilité.

La semaine dernière, une femme est venue avec un bulldog en détresse respiratoire.
Je lui ai dit qu’il fallait l’intuber et le garder en observation.
Elle a sorti son téléphone et m’a demandé si elle pouvait demander un deuxième avis à une influenceuse qu’elle suit en ligne.
J’ai hoché la tête.
Qu’est-ce que tu veux répondre à ça ?

Parfois, je pense à prendre ma retraite.
J’ai failli le faire pendant le COVID.
Un cauchemar.
Des dépôts en voiture sur le parking, des aboiements derrière des portes closes, des masques qui cachaient les larmes.
Des adieux à travers une vitre.
Personne ne les tenait quand ils partaient.

Quelque chose s’est brisé en moi à ce moment-là.

Mais parfois, un enfant entre avec une boîte pleine de chatons trouvés dans la grange de son grand-père, et ses yeux s’illuminent quand je lui permets d’en nourrir un.
Ou je recouds un golden retriever qui s’est frotté de trop près à une clôture barbelée, et le lendemain, son maître m’apporte une tarte aux pacanes.
Ou un vieux monsieur m’appelle juste pour me dire merci — pas pour le soin, mais parce que je suis resté assis avec lui après la mort de son chien, sans dire un mot, laissant le silence faire le travail.

C’est pour ça que je continue.

Parce que malgré tous les changements — les applis, les formulaires, les procès, les diagnostics Google — une chose n’a pas changé :

Les gens aiment toujours leurs animaux comme leur propre famille.

Et quand cet amour est profond, il se manifeste dans des gestes simples.
Une main tremblante posée sur un flanc velu.
Un adieu murmuré.
Un portefeuille vidé sans hésiter.
Un homme adulte qui craque dans mon bureau parce que son chien ne verra pas l’automne.

Peu importe l’époque, la technologie, les tendances — ça, ça ne change pas.

Il y a quelques mois, un homme est entré avec une boîte à chaussures.
Il avait trouvé un chaton près des rails. Patte brisée, couvert de puces, les côtes saillantes comme les touches d’un piano.
Lui-même avait l’air de sortir de l’enfer.
Il m’a dit qu’il venait de sortir de prison, qu’il n’avait pas un sou.
Mais est-ce que je pouvais faire quelque chose ?

J’ai regardé dans la boîte.
Le chaton a ouvert les yeux et a miaulé comme s’il me reconnaissait.
J’ai hoché la tête :
« Laissez-le ici. Revenez vendredi. »

On lui a immobilisé la patte, donné du lait tiède toutes les deux heures, on l’a appelé Boomer.
Vendredi, l’homme est revenu avec une tarte à moitié mangée et des larmes dans les yeux.
Il m’a dit :
« Personne m’a jamais rien rendu sans me demander d’abord ce que j’avais à offrir. »

Je lui ai répondu :
« Les animaux se fichent de ce que tu as fait.
Ils ne regardent que comment tu les tiens dans tes bras. »

Quarante ans.

Des milliers de vies.

Certaines sauvées. D’autres non.

Mais toutes ont compté.

J’ai un tiroir, dans mon bureau.
Fermé à clé.
Personne n’y touche.
À l’intérieur, il y a des vieilles photos, des mots de remerciement, des colliers, des médailles.
Un os à moelle d’un border collie nommé Scout qui a sauvé un enfant de la noyade.
Une empreinte en argile d’un chat qui dormait sur le comptoir d’une station-service.
Un dessin aux crayons de cire d’une petite fille qui m’a écrit que j’étais son héros parce que j’avais aidé son hamster à respirer de nouveau.

Je l’ouvre parfois, t**d le soir, quand la clinique est vide et que mes mains sont enfin calmes.

Et je me souviens.

Je me souviens du temps d’avant.
Avant les écrans.
Avant les applis.
Avant les remèdes de buzz et les contrôles de crédit.

Quand être vétérinaire, c’était rouler dans la boue à minuit parce qu’une vache mettait bas et qu’on était le seul en qui ils avaient confiance.

Quand on recousait avec du fil de pêche… et beaucoup d’espoir.

Quand on les tenait dans nos bras jusqu’à la fin — et qu’on tenait leurs humains aussi.

S’il y a une seule chose que j’ai apprise dans cette vie, c’est celle-ci :

On ne peut pas tous les sauver.

Mais on doit tout faire pour essayer.

Et quand vient le moment de dire adieu…
on reste.
On ne recule pas.
On ne presse rien.
On s’agenouille, on les regarde dans les yeux,
et on reste jusqu’à ce que leur dernier souffle quitte la pièce.

Ça, on ne vous l’enseigne pas.
Ni à la fac. Ni dans les livres.

Mais c’est ça… qui vous rend humain.

Et je ne l’échangerais pour rien au monde.

07/31/2025

Le deuil d’un animal : un amour qui ne meurt pas

Perdre un animal, c’est perdre un membre de la famille, un confident silencieux, une âme loyale qui a partagé nos joies, nos silences et nos chagrins.

Ce n’est pas « juste un animal ». C’est un compagnon de vie. Il nous a aimés sans condition, sans jugement, simplement, puissamment. Il a habité nos matins, nos routines, nos repères. Et maintenant qu’il n’est plus là, quelque chose en nous vacille.

Le deuil animalier est un deuil profond, même s’il est parfois invisible aux yeux des autres. Il mérite d’être reconnu, respecté, traversé avec tendresse. Il n’y a pas de petites peines quand il s’agit d’amour vrai.

Tu as donné, reçu, partagé tant. Et rien ne pourra effacer ce lien. L’amour que vous avez tissé ne s’éteint pas avec la mort — il devient présence subtile, souvenir vivant, chaleur discrète au creux du cœur.

Laisse-toi le droit de pleurer, de parler de lui, de l’aimer encore. Le deuil est un chemin, et chaque pas que tu fais honore la beauté de ce que vous avez vécu.

Avec tout mon amour pour chacun des toutous qui on passé dans ma vie , dans mon amour de toilettage et en communication animale 🤍♥️🙏🌹

Marie-Michelle 😘

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07/08/2025

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06/02/2025
05/04/2025
03/25/2025

🐶La vérité sur le démêlage extrême et la tonte à ras en cas de nœuds.

🗣️"Je veux garder les poils longs, vous pouvez démêler ?"
Oui… mais à quel prix ?

Beaucoup pensent qu’un démêlage, même intensif, est une alternative douce à la tonte. En réalité, ce choix peut devenir une véritable épreuve pour le chien.
Même quand il est fait avec patience, douceur et compétence.

-Ce qu’on oublie souvent :

-Sous les nœuds, la peau ne respire plus.

-Chaque coup de brosse peut tirer, pincer, faire mal.

-L’animal reste souvent debout ou figé pendant de longues minutes, parfois des heures.

-Le stress monte, et la confiance chute.

-risque d'agressivité

-risque de fuite à la prochaine séance

Ect..

Un démêlage extrême peut laisser des séquelles comportementales : peur du brossage, refus du toilettage, agressivité… Et ce, même si “il n’a rien dit”.

Notre travail, c’est de faire ce qui est le mieux pour votre animal, pas juste ce qui est joli sur la photo.
Et parfois, la coupe courte est le choix le plus respectueux. Elle soulage immédiatement, évite la douleur et permet de repartir sur de bonnes bases.

💡(Mais le saviez-vous ? la tonte à ras à aussi des effets sur le comportement et la peau de l'animal) ..

-pas désensibilisé: (peur, anxiété, risque de développer un comportement agressif...)

-soucis de peaux après tonte

-bleu et risque de blessures

- changement de comportement après la tonte..

-risque de vouloir fuir le toilettage à la prochaine séance
Ect...

Aimer son chien, ce n’est pas garder sa fourrure à tout prix.
C’est faire passer son bien-être avant l’esthétique.

Si tu es propriétaire : ose faire confiance à ton toiletteur. Et surtout, apprend à entretenir son pelage ✅

✨Si tu es pro : ose dire non à un démêlage que tu juges trop dur pour l’animal.
On est là pour eux. Pas que pour leur image.

Amélie Parole de toiletteuse.

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Bon repos Hercule 🕊️🕊️🕊️1er chat de Coiffure Canine , il était chez mon amie Caroline depuis les 5 derniers années. Elle...
02/21/2025

Bon repos Hercule 🕊️🕊️🕊️

1er chat de Coiffure Canine , il était chez mon amie Caroline depuis les 5 derniers années. Elle en a pris soins et aimer du plus profond de son cœur 🤍♥️. Il ne pouvait pas être mieux que chez elle avec ses 2 enfants, son chien Mayla et son autre ch**te ♥️. Toutes mes sympathies ma belle amie chérie 🤍🕊️🤍🕊️

Il à touché bien des cœurs 🥰🥰🥰

Je t’aime Hercule, Phill t’attend ♥️♥️♥️

02/18/2025

La plante araignée produit de l'oxygène tout en purifiant l'air de votre maison et de votre bureau en absorbant le monoxyde de carbone, le formaldéhyde et le xylène. De plus, les plantes araignées ne sont pas toxiques et sont en fait comestibles, ce qui les rend sûrs pour les animaux de compagnie et les jeunes enfants.

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Tuesday 8:30am - 4:30pm
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