08/06/2025
Je ne vous le cache pas : article traduit du post précédent avec ChatGPT !
Les voitures et votre chien.
Quatre Roues et une Tornade : Pourquoi les Chiens Ont du Mal avec les Voyages en Voiture (Et Comment y Remédier)
Si vous avez déjà tenté de faire monter votre chien dans la voiture pour le retrouver collé au trottoir tel un manifestant poilu, ou si vous avez assisté, impuissant, à sa transformation en tornade hurlante, tournoyante et baveuse dès que les roues commencent à bouger, rassurez-vous : vous n’êtes pas seul.
Pour de nombreux propriétaires, les trajets en voiture ressemblent moins à une « balade tranquille à la campagne » qu’à une séance de « gestion du chaos sur quatre roues ». Certains chiens sautent dans la voiture avec enthousiasme et voyagent comme de vieux routiers. D’autres tremblent, gémissent, bavent, aboient, tournent sur eux-mêmes, ou se transforment en crêpes molles qu’il faut ramasser et verser sur la banquette arrière. Alors, pourquoi ce problème est-il si répandu ? Et pourquoi certains chiens restent totalement indifférents tandis que d’autres réagissent comme si la voiture était une boîte démoniaque montée sur roues ?
Plongeons sous le capot pour mieux comprendre.
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Que se Passe-t-il dans la Tête du Chien ?
1. Manque d’Exposition Précoce
Comme les aspirateurs, les chapeaux ou les hérissons, une voiture est un objet étrange pour un chien s’il n’y a pas été habitué positivement pendant ses premières semaines. Sans expériences calmes et positives du voyage en voiture tôt dans la vie, le véhicule devient un cauchemar sensoriel ambulant.
2. Mal des Transports
Les chiens, tout comme les humains, peuvent souffrir du mal des transports. Le décalage entre ce que voient leurs yeux et ce que ressent leur oreille interne peut provoquer nausées, halètements, bave et même vomissements. Avec le temps, l’association voiture = malaise devient un automatisme, et l’anxiété s’installe avant même que le trajet ne commence.
3. Instinct de Chasse Déclenché par le Mouvement
Les roues qui tournent, les ombres sur le tableau de bord, les lumières clignotantes, les cyclistes… pour certains chiens, surtout ceux avec un fort instinct de poursuite, c’est trop stimulant. Si le chien ne peut pas accéder à la cible mouvante, cela peut se traduire par des aboiements, des tourbillons et une énergie redirigée.
4. Anxiété et Perte de Contrôle
L’espace confiné de la voiture, les bruits imprévisibles, la sensation de mouvement sans pouvoir agir... pour certains chiens, c’est la recette parfaite pour se sentir piégés. Contrairement à une promenade, où ils peuvent flairer, s’arrêter ou choisir une direction, la voiture ne leur offre aucun choix. Pour un chien anxieux ou en quête de contrôle, c’est très stressant.
5. Anticipation (Bonne ou Mauvaise)
Les chiens sont des maîtres de l’association. Si la voiture signifie systématiquement « vétérinaire » ou « être laissé seul en garderie », l’émotion négative s’ancre avant même le démarrage du moteur. À l’inverse, si voiture rime avec « parc, plage, balade », l’excitation peut être telle que le cerveau du chien déconnecte et laisse place aux cordes vocales.
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Pourquoi Certains Chiens Aiment la Voiture
Certains chiens adorent vraiment les trajets en voiture. Pourquoi ?
• Ils y ont été exposés tôt et positivement.
• Ils se sentent en sécurité.
• Leur tempérament s’adapte bien au mouvement et au changement.
• Leurs humains ont instauré une routine de voyage calme et prévisible.
• La destination est variée : pas seulement amusante ou stressante.
Bref, la génétique, la socialisation, les expériences passées et le tempérament jouent tous un rôle.
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Alors... Que Faire ?
1. Évaluation Approfondie
Avant de chercher une solution, comprenez d’abord le « pourquoi » du comportement de votre chien. Mal des transports ? Frustration ? Anxiété ? Manque total d’exposition ? Obtenez une clarté avant de jeter des spaghettis sur le pare-brise.
2. Désensibilisation et Contre-Conditionnement
Un processus progressif que beaucoup de chiens apprécient :
• Étape 1 : Voiture à l’arrêt = fun
Laissez le moteur éteint. Laissez le chien approcher, renifler. Récompensez. L’idée est de créer une association positive ou neutre.
• Étape 2 : Monter sans bouger
Porte ouverte, chien à l’intérieur. Pas de mouvement. Utilisez nourriture, jouets ou éloges pour créer une expérience agréable.
• Étape 3 : Moteur allumé, voiture immobile
Si le chien panique, revenez à l’étape précédente.
• Étape 4 : Petits trajets sans but
2–3 minutes en voiture vers nulle part. Faites le tour du quartier, puis retour à la maison. Sans événement particulier.
• Étape 5 : Variez les destinations
Alternez vétérinaire, parc, station essence, maison… pour éviter une anticipation excessive.
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Aider un Chien Qui a le Mal des Transports
Si vous soupçonnez un mal des transports, consultez un vétérinaire. Des médicaments peuvent aider, mais aussi :
• Évitez de nourrir avant le départ.
• Gardez la voiture fraîche et aérée.
• Utilisez des lits surélevés ou cages de transport selon le besoin de visibilité.
• Conduisez doucement. Vous n’êtes pas James Bond.
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Aider un Chien Anxieux ou Trop Stimulé
• Apprenez à votre chien à aimer sa caisse de transport : elle peut bloquer les stimulations visuelles et créer un sentiment de sécurité.
• Utilisez une couverture ou pare-soleil pour bloquer la vue si l’instinct de poursuite est trop fort.
• Recours aux aides calmantes : spray Adaptil, musique relaxante (le reggae ou la musique classique fonctionnent), gilets anti-anxiété.
• Entraînez le contrôle des impulsions hors de la voiture : Assis. Reste. Attends.
• Donnez une "mission voiture" : un jouet à mâcher, un tapis cible, un Kong fourré. « Ton boulot ici, c’est mâcher ça. Pas hurler sur les cyclistes. »
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Faire Monter le Chien dans la Voiture
Ah, ce chien-crêpe ! S’il se couche au sol dès que vous l’invitez à monter :
• Apprenez une commande type « monte » ou « en voiture » en renforcement positif.
• Récompensez chaque pas vers la voiture.
• Ne le portez pas systématiquement, cela empêche l’apprentissage.
• Garez la voiture toujours au même endroit. La routine aide.
• Utilisez une rampe si l’âge, les articulations ou la taille posent problème.
• Ne tirez jamais et ne forcez pas : cela détruit la confiance.
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Ce que les Éducateurs Canins Peuvent Faire
Si vous êtes éducateur canin :
• Observez bien le chien. Est-il anxieux ? Trop stimulé ? Nauséeux ?
• Commencez par coacher l’humain. Maître calme = chien plus calme.
• Fractionnez les étapes. Pas de trajet de deux heures d’emblée.
• Utilisez la vidéo. Filmez avant, pendant et après pour détecter les signaux subtils.
• Créez un carnet d’entraînement. Suivez les progrès et les reculs.
• Travaillez sur l’énergie. Ne laissez pas le chien sortir en fusée. Une sortie calme est aussi importante qu’une entrée calme.
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Conclusion (Et un Brin de Vérité)
Certains chiens adorent la voiture. D’autres la tolèrent. Et d’autres encore ont l’air d’être enlevés par des extraterrestres à chaque ouverture du coffre. La clé, ce n’est pas de les forcer, mais de comprendre ce qu’ils vivent, et de construire un plan basé sur la confiance, la clarté et la régularité.
Et souvenez-vous : même si votre chien pense que hurler sur les essuie-glaces est une carrière valable, c’est à nous de lui montrer doucement qu’il existe de meilleures options.
La voiture n’est pas l’ennemi. Le chien non plus. Le vrai défi, c’est la manière dont nous façonnons l’expérience.
Prenez votre temps. Allez doucement. Conduisez droit. Et gardez une serviette dans la boîte à gants – pour la bave, bien sûr.
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