monde des éleveurs professionnels

01/01/2025

Tarriere thermique à grand diamètre

07/02/2024

Bonjour à tous

06/12/2023

25/10/2023

13/09/2023

𝗔𝘁𝗿𝗼𝗽𝗶𝗻𝗲

PROPRIETES
Parasympathicolytique. Alcaloïde antispasmodique, antisécrétoire, accélérateur cardiaque, mydriatique, cycloplégique (mise au repos du muscle ciliaire).

INDICATIONS
En usage externe : pour les urgences ophtalmologiques
Douleur oculaire
Uvéites antérieures
Ulcères de cornée
Plaies cornéennes perforantes

En usage interne :
Bradycardie
Asthme chez le chat
Antidote de l'ésérine, arécoline, pilocarpine, morphine et du chloroforme
Intoxication par les organophosphorés

POSOLOGIE
Traitement des affections oculaires : une goulle matin et soir pendant 6-7 jours
Bradycardie: 0,04 mg/kg IV, peut être répété si la première dose n'a pas d'effet, peut également être administré en intracardiaque, intratrachéale et transpulmonaire
Traitement de l'asthme: 0,02-0,04 mg/kg SC, IM
Utilisation comme antidote lors d'intoxication aux organophosphorés :
0,2-0,5 mg/kg IV, IM ou SC (partager la dose en IV, en IM ou SC). Renouveler si nécessaire pendant les 24 premières heures.

EFFETS INDESIRABLES
Kératoconjonctivite sèche en cas d'administration prolongée, xérostomie
Photophobie (en raison de la mydriase)
Hypersensibilité de la conjonctive (d'apparition immédiate).
Perte de l'accommodation
Tachycardie
Ptyalisme chez le chat lors d'instillation oculaire (provoqué par le goût amer de l'atropine)

CONTRE-INDICATIONS
Glaucome
Kérato-conjonctivite sèche
Sub-luxation du cristallin

PRESENTATIONS
Collyres ( 0,5% ou 1 %), solution injectable

Remarque :
Chez le chat, on utilisera plutôt le collyre à 0,5% et on évitera le collyre à 1% qui
entraîne un ptyalisme important.

NOMS DE SPECIALITES
ATROPINE AGUETTANT (H) sol inj 0.25mg/1ml, 0.5mg/ml, 1mg/ml
VT doses ATROPINE (V) coll 1%
CHIBRO-ATROPINE coll (H) 0.5%, 1%.

08/09/2023

𝗹𝗲𝘀 𝗮𝘃𝗼𝗿𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗰𝗵𝗲𝘇 𝗹𝗲𝘀 𝗿𝘂𝗺𝗶𝗻𝗮𝗻𝘁𝘀

Les avortements sont des pathologies anciennes et persistantes. Tous les élevages sont concernés, 2 % des femelles avortent chaque année.

En présence de causes infectieuses, parasitaires, alimentaires… des avortements en série peuvent apparaître.
Des causes infectieuses et parasitaires redoutables, un recours aux analyses
Parmi toutes les causes, celles d’origine infectieuse (bactérienne ou virale) ou parasitaire (toxo­plas­mose, néos­po­ro­se…) sont les plus redoutables car contagieuses et douées d’un grand pouvoir d’expansion intra et inter élevage.

Connaître la cause d’une épidémie est indispensable pour mettre en place la thérapeutique curative et élaborer la stratégie préventive. Lors d’avortements, les manifestations cliniques et les caractéristiques épidémiologiques ne sont jamais suffisamment spécifiques.

Le recours aux analyses est donc un passage obligé. Il fait appel à des méthodes directes avec recherche de l’agent causal ou indirectes avec recherche des anticorps.

Un diagnostic direct facilité par la CRSSA
Pour faciliter l’utilisation des nouvelles techniques de diagnostic direct (PCR), le GRASL a décidé de consacrer la CRSSA au diagnostic direct des avortements dans les élevages bovins, ovins et caprins. Un kit PCR, adapté à chaque espèce, avec une prise en charge de 75 % (cf. tableau « CRSSA – Kit diagnostic direct avortements ruminants ») est à disposition.

En cas de nécessité de recherches sérologiques complémentaires, le plan régional « maladies émergentes » permet la poursuite de la prise en charge de 50 % des frais d’analyses et de la visite vétérinaire de mise en place du plan de lutte et de prévention.

Des résultats… mais des précautions d’utilisation à respecter : intervenir 48 h maxi après l’avortement avec prélèvement de sang et d’avorton ou de placenta ; à compléter avec des recherches sérologiques.

27/07/2023

Bonjour à tous. Je viens par cette présente publication vous faire part d'une séance de formation qui se tiendra en ligne.
Je m'adresse aux acteurs de la filière avicole et à tout ceux qui voudront faire de la vente d'aliments un métier.
Cette séance sera en ligne sur WhatsApp.
Merci à tous

14/07/2023

𝗟𝗮 𝗴𝗮𝗹𝗲 𝗼𝘃𝗶𝗻𝘀

La gale ovine, aussi connue sous le nom de gale sarcoptique ou psoroptique, est une maladie parasitaire externe qui affecte les moutons. Elle est causée par des acariens responsables d'irritations cutanées et de démangeaisons intenses.

La gale sarcoptique est causée par le Sarcoptes scabiei var. ovis, qui creuse des galeries dans la peau de l'ovin pour se nourrir de ses tissus. Cette forme de gale provoque des démangeaisons sévères, des croûtes et des lésions cutanées.

La gale psoroptique est causée par le Psoroptes ovis, qui se nourrit du liquide lymphatique des moutons en suçant leur sang. Cette forme de gale provoque également des démangeaisons sévères, des pertes de poils et des lésions cutanées.

La gale ovine est très contagieuse et peut se propager rapidement dans les troupeaux. Les moutons infestés peuvent se gratter excessivement, perdre du poids, avoir des problèmes de reproduction et être plus susceptibles aux infections secondaires.

Le traitement de la gale ovine implique généralement l'utilisation de produits acaricides, tels que des bains, des pulvérisations ou des injections, pour tuer les acariens responsables de l'infestation. Il est également important d'assurer une bonne hygiène et une propreté dans les installations pour prévenir la propagation de la maladie.

En résumé, la gale ovine est une maladie parasitaire externe qui affecte les moutons et peut causer de graves démangeaisons et des lésions cutanées. Elle est traitée avec des produits acaricides et en maintenant une bonne hygiène dans les troupeaux.