18/04/2025
🗣️ -NOUS A FAIRE ENTENDRE LEURS VOIX 🤛
Le Ministre du Bien-Être Animal, Adrien Dolimont, envisage de modifier les contrats d’adoption pour y inclure une clause qui informerait les qu’un recours devant le Conseil d’État pourrait conduire… à la restitution de l’ à son ancien propriétaire, même en cas de grave.
😳Une mesure qui choque et qui serait un symbole de recul historique pour le bien-être animal en Wallonie.
❌ Plutôt que de sécuriser les adoptions et empêcher les retours en arrière inacceptables, le envisage de rendre ces abus juridiquement possibles.
Incompréhensible.
Nous demandons expressément au Ministre de renoncer à ce projet.
✊ Un animal maltraité ne doit jamais retourner chez son bourreau.
✊ Une , c’est une nouvelle vie. Elle doit être définitive.
📢 Faisons entendre notre voix. Pour les . Pour la . Pour l’éthique.
Sans Collier ASBL 🧡
Agrément HK30220127
Protection des Animaux depuis 1972 ✨
🛑 ADRIEN DOLIMONT VEUT ADAPTER LES CONTRATS D’ADOPTION EN VUE DES RESTITUTIONS D’ANIMAUX
📣 L’Union Wallonne pour la Protection Animale tire la sonnette d’alarme.
Dans une réponse parlementaire du 10 avril 2025, le Ministre du Bien-Être animal, Adrien Dolimont, annonce qu’il réfléchit à intégrer dans les contrats d’adoption une clause obligeant à informer les adoptants qu’un recours au Conseil d’État peut entraîner la restitution de l’animal à son ancien propriétaire, y compris en cas de maltraitance grave.
➡️ Ce n’est pas une réponse au problème. C’est sa confirmation.
Plutôt que de protéger les animaux et les familles qui les adoptent, le Ministre conforte la possibilité que des animaux maltraités puissent être restitués à ceux qui les ont fait souffrir, après des mois de procédure.
❌ Cette logique est inacceptable. Voici pourquoi :
🔹 Elle ne résout pas un scandale, elle l’officialise.
Ces situations choquantes existent déjà : des animaux soignés et adoptés sont arrachés à leur nouvelle famille sur décision administrative ou judiciaire. Le Ministre choisit d’entériner ces abus au lieu de les empêcher.
🔹 Elle crée une insécurité juridique et émotionnelle insupportable.
Adopter un animal n’est pas un acte banal. C’est un engagement affectif, profond, pour plusieurs années. Imposer une clause évoquant une possible restitution à un maltraitant, c’est saboter la relation de confiance entre les refuges et les adoptants. Qui osera encore s’attacher à un animal si l’État prévoit qu’il peut le reprendre ?
🔹 Elle menace directement l’équilibre des refuges.
Les refuges sont déjà saturés. Moins d’adoptions = plus d’animaux qui stagnent, des accueils suspendus, des vies mises en pause. Et dans les cas de restitution, c’est une double peine : on brise une adoption, et on encombre à nouveau les structures.
🔹 Elle envoie un message terrible : la maltraitance peut se plaider.
En laissant la porte ouverte à des recours stratégiques de la part de propriétaires maltraitants, le Ministre affaiblit le sens même de la saisie pour bien-être animal. On ne retire plus un animal pour le sauver, mais "jusqu’à nouvel ordre".
🔹 Elle nie la souffrance psychologique de l’animal et de sa nouvelle famille.
Un animal adopté retrouve une stabilité, des repères, un lien affectif. Le reprendre ensuite, c’est infliger un second traumatisme, incompréhensible pour l’animal, violent pour les adoptants. Les animaux ne sont pas des objets de contentieux.
🔹 Elle piétine le travail de terrain des refuges.
Les refuges ne placent pas un animal à la légère. Ils l’évaluent, le soignent, l’accompagnent. Leur expertise est de terrain, humaine, vivante. Les réduire à des "dépôts sous conditions de recours", c’est nier leur mission, leur savoir-faire, leur cœur.
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⚠️ Si Adrien Dolimont met en œuvre cette orientation, ce sera un recul historique pour la protection animale en Wallonie.
Plutôt que de corriger un système où des recours injustes permettent encore à des maltraitants de récupérer leurs animaux, le Ministre propose de légitimer cette possibilité par contrat.
👉 Rappelons que la procédure de saisie se fait en deux temps :
Un retrait immédiat pour sauver l’animal d’une situation critique ;
Un délai de 60 jours permettant à l’administration d’analyser la situation et de statuer.
Ce mécanisme offre déjà un temps de recul, de réflexion, d’analyse. Y ajouter un risque de restitution postérieure après adoption, parfois plusieurs mois voire années plus t**d, est intenable, incompréhensible et profondément injuste.
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🔴 Nous demandons expressément au Ministre de renoncer à ce projet.
Nous appelons :
Les citoyens,
Les familles adoptantes,
Les vétérinaires,
Les bénévoles,
Les parlementaires de tous bords à nous rejoindre pour faire barrage à cette dérive.
✊ Les animaux ne sont pas des biens.
✊ Les adoptions doivent être définitives.
✊ Les maltraitants ne doivent plus avoir la possibilité de récupérer leurs victimes.
📣 Partagez ce message. Interpellez vos représentants. Mobilisez-vous. Parce que le respect du vivant n’admet pas d’ambiguïté.
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