Cabinet Vétérinaire Humanivet

Cabinet Vétérinaire Humanivet 𝗡𝗢𝗧𝗥𝗘 𝗗𝗘𝗩𝗜𝗦𝗘 :

" Les comprendre, les aimer, pour mieux les soigner ! "

Bonjour 😊Pour le 𝟑𝟎 𝐞𝐭 𝟑𝟏 𝐚𝐨𝐮̂𝐭, c'est le 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐁𝐨𝐢𝐬𝐝𝐞𝐧𝐠𝐡𝐢𝐞𝐧 qui est de garde pour la région de la Haute-Senne (Ecauss...
30/08/2025

Bonjour 😊
Pour le 𝟑𝟎 𝐞𝐭 𝟑𝟏 𝐚𝐨𝐮̂𝐭, c'est le 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐁𝐨𝐢𝐬𝐝𝐞𝐧𝐠𝐡𝐢𝐞𝐧 qui est de garde pour la région de la Haute-Senne (Ecaussinnes, Soignies et Braine-Le-Comte).
En cas d'urgence avec votre animal :
☎️ 0479/25.97.72
📬 Grand Chemin 52C, 7063 Neufvilles.
Excellent week-end ! 🌼

☀️ 𝗟𝗼𝘂𝗹𝗼𝘂 𝗱𝘂 𝗺𝗼𝗶𝘀 - 𝗔𝗼𝘂̂𝘁 ☀️Comme chaque mois, nos petits patients nous ont offert de beaux moments. Merci à leurs famil...
29/08/2025

☀️ 𝗟𝗼𝘂𝗹𝗼𝘂 𝗱𝘂 𝗺𝗼𝗶𝘀 - 𝗔𝗼𝘂̂𝘁 ☀️

Comme chaque mois, nos petits patients nous ont offert de beaux moments. Merci à leurs familles pour leur confiance tout au long de l’été !

Découvrez quelques-uns des adorables loulous qui ont marqué notre mois d’août 📸

🎒 Toute l’équipe vous souhaite 𝐮𝐧𝐞 𝐞𝐱𝐜𝐞𝐥𝐥𝐞𝐧𝐭𝐞 𝐫𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞́𝐞, à vous et vos compagnons à quatre pattes !

Bonjour 😃Pour le 𝟐𝟑 𝐞𝐭 𝟐𝟒 𝐚𝐨𝐮̂𝐭, c'est le 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐓𝐡𝐢𝐫𝐲 qui est de garde pour la région de la Haute-Senne (Ecaussinnes, ...
23/08/2025

Bonjour 😃
Pour le 𝟐𝟑 𝐞𝐭 𝟐𝟒 𝐚𝐨𝐮̂𝐭, c'est le 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐓𝐡𝐢𝐫𝐲 qui est de garde pour la région de la Haute-Senne (Ecaussinnes, Soignies et Braine-Le-Comte).
En cas d'urgence avec votre animal :
☎️ 067/55.28.77
📬 Rue de la Bienfaisance 56, 7090 Braine-le-Comte.
Bon week-end ! 🐱

🎉🐾 Joyeux anniversaire à notre adorable patiente🐾🎉Aujourd’hui, nous avons eu le plaisir de souhaiter un merveilleux anni...
22/08/2025

🎉🐾 Joyeux anniversaire à notre adorable patiente🐾🎉

Aujourd’hui, nous avons eu le plaisir de souhaiter un merveilleux anniversaire à Sara, qui fête ses 18 ans 🎂
Merci à sa famille de nous avoir permis de faire partie de ce moment spécial en nous gâtant de sucrerie !💕

Chère Sara, toute l’équipe du cabinet vétérinaire HumAniVet te souhaite encore de belles journées remplies de tendresse, de siestes au soleil et de caresses bien méritées 🐶✨

Bonjour 🙂Pour le 𝟏𝟔 𝐞𝐭 𝟏𝟕 𝐚𝐨𝐮̂𝐭, c'est le 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐉𝐨𝐲𝐞𝐮𝐱 qui est de garde pour la région de la Haute-Senne (Ecaussinnes,...
16/08/2025

Bonjour 🙂
Pour le 𝟏𝟔 𝐞𝐭 𝟏𝟕 𝐚𝐨𝐮̂𝐭, c'est le 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐉𝐨𝐲𝐞𝐮𝐱 qui est de garde pour la région de la Haute-Senne (Ecaussinnes, Soignies et Braine-Le-Comte).
En cas d'urgence avec votre animal :
☎️ 067/87.88.86
📬 Drève des Bouleaux 5, 7090 Braine-le-Comte.
Bon week-end 🐶

Bonjour ! 😃Pour ce 𝟏𝟓 𝐚𝐨𝐮̂𝐭, c'est le 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐑𝐞𝐧𝐚𝐮𝐝 qui est de garde pour la région de la Haute-Senne (Ecaussinnes, Soi...
14/08/2025

Bonjour ! 😃
Pour ce 𝟏𝟓 𝐚𝐨𝐮̂𝐭, c'est le 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐑𝐞𝐧𝐚𝐮𝐝 qui est de garde pour la région de la Haute-Senne (Ecaussinnes, Soignies et Braine-Le-Comte).
En cas d'urgence avec votre animal :
☎️ 067/45.86.34
📬 Chemin de la Ferme d'Escole 26, 7060 Soignies.
Bonne journée ! ☀️

Bonjour ! 😊Pour le 𝟗 𝐞𝐭 𝟏𝟎 𝐚𝐨𝐮̂𝐭, c'est le 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐆𝐫𝐨𝐢𝐠𝐧𝐞𝐭 qui est de garde pour la région de la Haute-Senne (Ecaussinn...
09/08/2025

Bonjour ! 😊
Pour le 𝟗 𝐞𝐭 𝟏𝟎 𝐚𝐨𝐮̂𝐭, c'est le 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐆𝐫𝐨𝐢𝐠𝐧𝐞𝐭 qui est de garde pour la région de la Haute-Senne (Ecaussinnes, Soignies et Braine-Le-Comte).
En cas d'urgence avec votre animal :
☎️ 0479/89.77.66
📬 Rue Marguerite 40, 7061 Thieusies.
Très week-end ! 🌼

Ecrit par un vétérinaire... 🩺
07/08/2025

Ecrit par un vétérinaire... 🩺

Écrit par un vétérinaire.

Un jour, j’ai recousu la gorge d’un chien avec du fil de pêche, à l’arrière d’un pick-up, pendant que son propriétaire tenait une lampe torche entre les dents et pleurait comme un enfant.

C’était en 79, peut-être 80. Juste à la sortie d’un petit bled, près de la frontière du Tennessee.
Pas de clinique, pas de table propre, pas d’anesthésie à part un peu de tord-boyaux.
Mais le chien a survécu.
Et cet homme m’envoie encore une carte de Noël chaque année, même si le chien est mort depuis longtemps… et sa femme aussi.

Je suis vétérinaire depuis quarante ans.
Quatre décennies de sang sous les ongles et de poils sur les vêtements.
À l’époque, on faisait avec ce qu’on avait — pas avec ce qu’on pouvait facturer.
Aujourd’hui, je passe la moitié de mes journées à expliquer des codes d’assurance et des plans de financement, pendant qu’un beagle se vide de son sang dans la pièce d’à côté.

Je croyais que ce métier consistait à sauver des vies.
Maintenant je sais : il s’agit surtout de ramasser les morceaux quand tout s’écroule.

J’ai commencé en 1985.
Fraîchement diplômé de l’Université de Géorgie. J’avais encore mes cheveux. Et de l’espoir.
Ma première clinique était un bâtiment en briques, au bout d’un chemin de gravier, avec un toit qui fuyait à la moindre averse.
Le téléphone était à cadran, le frigo faisait un bruit de moteur, et le chauffage ne fonctionnait que quand ça lui chantait.
Mais les gens venaient.
Des fermiers, des ouvriers, des retraités, même des routiers avec des pitbulls assis sur le siège passager.

Ils ne demandaient pas grand-chose.

Une piqûre par-ci. Une suture par-là.
Et l’euthanasie, quand il était temps — et on savait toujours quand c’était le moment.
Il n’y avait pas de débat, pas de culpabilisation sur les réseaux sociaux, pas de “protocoles alternatifs”.
Juste cette entente silencieuse entre une personne et son chien : la souffrance était devenue trop grande.
Et ils me faisaient confiance pour porter ce poids.

Parfois, je prenais mon vieux pick-up et j’allais jusqu’à une grange, là où un cheval s’était cassé la jambe.
Ou bien sur un porche, où un vieux chien n’avait rien mangé depuis trois jours.
Je m’asseyais à côté du propriétaire, je lui tendais un mouchoir, et j’attendais.
Je ne précipitais rien.
Parce qu’à cette époque, on les tenait dans nos bras jusqu’au bout.
Aujourd’hui, les gens signent des papiers et demandent s’ils peuvent “revenir chercher les cendres la semaine prochaine”.

Je me souviens de la première fois où j’ai dû endormir un chien.
Un berger allemand nommé Rex. Il avait été percuté par une moissonneuse.
Son maître, Walter Jennings, vétéran de la Seconde Guerre mondiale, dur comme le fil barbelé et deux fois plus tranchant.
Mais quand je lui ai dit que Rex était perdu, ses genoux ont lâché.
Là, dans ma salle d’examen.

Il n’a rien dit. Il a juste hoché la tête.
Et puis — je ne l’oublierai jamais — il a embrassé le museau de Rex et a murmuré :
« Tu as été un bon chien, mon gars. »
Puis il s’est tourné vers moi :
« Fais-le vite. Ne le fais pas attendre. »

Je l’ai fait.

Cette nuit-là, je n’ai pas dormi.
Je suis resté assis sur mon perron avec une cigarette, à fixer les étoiles jusqu’à l’aube.
C’est là que j’ai compris : ce métier ne parle pas que d’animaux.
Il parle d’amour.
De l’amour que les gens versent dans un être qui, ils le savent, ne vivra jamais aussi longtemps qu’eux.

Nous sommes en 2025 maintenant.
Mes cheveux sont blancs — ce qu’il en reste.
Mes mains ne coopèrent plus toujours. Il y a un tremblement qui n’était pas là au printemps dernier.
La clinique existe toujours, mais elle a maintenant des murs blancs immaculés, un logiciel par abonnement, et un responsable marketing de 28 ans qui me dit de filmer des TikToks avec mes patients.
Je lui ai dit que je préférerais me castrer moi-même.

Avant, on travaillait à l’instinct.
Maintenant, ce sont des algorithmes et des formulaires de responsabilité.

La semaine dernière, une femme est venue avec un bulldog en détresse respiratoire.
Je lui ai dit qu’il fallait l’intuber et le garder en observation.
Elle a sorti son téléphone et m’a demandé si elle pouvait demander un deuxième avis à une influenceuse qu’elle suit en ligne.
J’ai hoché la tête.
Qu’est-ce que tu veux répondre à ça ?

Parfois, je pense à prendre ma retraite.
J’ai failli le faire pendant le COVID.
Un cauchemar.
Des dépôts en voiture sur le parking, des aboiements derrière des portes closes, des masques qui cachaient les larmes.
Des adieux à travers une vitre.
Personne ne les tenait quand ils partaient.

Quelque chose s’est brisé en moi à ce moment-là.

Mais parfois, un enfant entre avec une boîte pleine de chatons trouvés dans la grange de son grand-père, et ses yeux s’illuminent quand je lui permets d’en nourrir un.
Ou je recouds un golden retriever qui s’est frotté de trop près à une clôture barbelée, et le lendemain, son maître m’apporte une tarte aux pacanes.
Ou un vieux monsieur m’appelle juste pour me dire merci — pas pour le soin, mais parce que je suis resté assis avec lui après la mort de son chien, sans dire un mot, laissant le silence faire le travail.

C’est pour ça que je continue.

Parce que malgré tous les changements — les applis, les formulaires, les procès, les diagnostics Google — une chose n’a pas changé :

Les gens aiment toujours leurs animaux comme leur propre famille.

Et quand cet amour est profond, il se manifeste dans des gestes simples.
Une main tremblante posée sur un flanc velu.
Un adieu murmuré.
Un portefeuille vidé sans hésiter.
Un homme adulte qui craque dans mon bureau parce que son chien ne verra pas l’automne.

Peu importe l’époque, la technologie, les tendances — ça, ça ne change pas.

Il y a quelques mois, un homme est entré avec une boîte à chaussures.
Il avait trouvé un chaton près des rails. Patte brisée, couvert de puces, les côtes saillantes comme les touches d’un piano.
Lui-même avait l’air de sortir de l’enfer.
Il m’a dit qu’il venait de sortir de prison, qu’il n’avait pas un sou.
Mais est-ce que je pouvais faire quelque chose ?

J’ai regardé dans la boîte.
Le chaton a ouvert les yeux et a miaulé comme s’il me reconnaissait.
J’ai hoché la tête :
« Laissez-le ici. Revenez vendredi. »

On lui a immobilisé la patte, donné du lait tiède toutes les deux heures, on l’a appelé Boomer.
Vendredi, l’homme est revenu avec une tarte à moitié mangée et des larmes dans les yeux.
Il m’a dit :
« Personne m’a jamais rien rendu sans me demander d’abord ce que j’avais à offrir. »

Je lui ai répondu :
« Les animaux se fichent de ce que tu as fait.
Ils ne regardent que comment tu les tiens dans tes bras. »

Quarante ans.

Des milliers de vies.

Certaines sauvées. D’autres non.

Mais toutes ont compté.

J’ai un tiroir, dans mon bureau.
Fermé à clé.
Personne n’y touche.
À l’intérieur, il y a des vieilles photos, des mots de remerciement, des colliers, des médailles.
Un os à moelle d’un border collie nommé Scout qui a sauvé un enfant de la noyade.
Une empreinte en argile d’un chat qui dormait sur le comptoir d’une station-service.
Un dessin aux crayons de cire d’une petite fille qui m’a écrit que j’étais son héros parce que j’avais aidé son hamster à respirer de nouveau.

Je l’ouvre parfois, t**d le soir, quand la clinique est vide et que mes mains sont enfin calmes.

Et je me souviens.

Je me souviens du temps d’avant.
Avant les écrans.
Avant les applis.
Avant les remèdes de buzz et les contrôles de crédit.

Quand être vétérinaire, c’était rouler dans la boue à minuit parce qu’une vache mettait bas et qu’on était le seul en qui ils avaient confiance.

Quand on recousait avec du fil de pêche… et beaucoup d’espoir.

Quand on les tenait dans nos bras jusqu’à la fin — et qu’on tenait leurs humains aussi.

S’il y a une seule chose que j’ai apprise dans cette vie, c’est celle-ci :

On ne peut pas tous les sauver.

Mais on doit tout faire pour essayer.

Et quand vient le moment de dire adieu…
on reste.
On ne recule pas.
On ne presse rien.
On s’agenouille, on les regarde dans les yeux,
et on reste jusqu’à ce que leur dernier souffle quitte la pièce.

Ça, on ne vous l’enseigne pas.
Ni à la fac. Ni dans les livres.

Mais c’est ça… qui vous rend humain.

Et je ne l’échangerais pour rien au monde.

Bonjour ! 😃Pour le 𝟐 𝐞𝐭 𝟑 𝐚𝐨𝐮̂𝐭, c'est le 𝐜𝐚𝐛𝐢𝐧𝐞𝐭 𝐯𝐞́𝐭𝐞́𝐫𝐢𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐁𝐞𝐯𝐞𝐭 qui est de garde pour la région de la Haute-Senne ...
02/08/2025

Bonjour ! 😃
Pour le 𝟐 𝐞𝐭 𝟑 𝐚𝐨𝐮̂𝐭, c'est le 𝐜𝐚𝐛𝐢𝐧𝐞𝐭 𝐯𝐞́𝐭𝐞́𝐫𝐢𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐁𝐞𝐯𝐞𝐭 qui est de garde pour la région de la Haute-Senne (Ecaussinnes, Soignies et Braine-Le-Comte).
En cas d'urgence avec votre animal :
☎️ 067/40.08.10
📬 Boulevard Roosevelt 30, 7060 Soignies.
Bon week-end ! 🐱

🌊𝗟𝗼𝘂𝗹𝗼𝘂 𝗱𝘂 𝗺𝗼𝗶𝘀 – 𝗝𝘂𝗶𝗹𝗹𝗲𝘁 🌊Ce mois-ci, le cabinet a eu le plaisir d’accueillir de nombreux petits loulous. 🐱🐶Entre deux ...
01/08/2025

🌊𝗟𝗼𝘂𝗹𝗼𝘂 𝗱𝘂 𝗺𝗼𝗶𝘀 – 𝗝𝘂𝗶𝗹𝗹𝗲𝘁 🌊

Ce mois-ci, le cabinet a eu le plaisir d’accueillir de nombreux petits loulous. 🐱🐶

Entre deux rayons de soleil et quelques pauses réconfortantes nos petits visiteurs ont apporté leur lot de bonne humeur et de tendresse.

Merci à vous pour votre confiance et vos sourires !
On continue l'été en douceur…☀️💙

Bonjour ! 🙂Pour le 𝟐𝟔 𝐞𝐭 𝟐𝟕 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭, c'est le 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐋𝐚𝐦𝐛𝐨𝐭𝐭𝐞 qui est de garde pour la région de la Haute-Senne (Ecauss...
26/07/2025

Bonjour ! 🙂
Pour le 𝟐𝟔 𝐞𝐭 𝟐𝟕 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭, c'est le 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐋𝐚𝐦𝐛𝐨𝐭𝐭𝐞 qui est de garde pour la région de la Haute-Senne (Ecaussinnes, Soignies et Braine-Le-Comte).
En cas d'urgence avec votre animal :
☎️ 067/33.37.85
📬 Chaussée de Lessinnes 150, 7060 Soignies.
Bon week-end ! 🐶

25/07/2025

🐾 𝐋𝐚 𝐅𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐋𝐢𝐛𝐫𝐚𝐦𝐨𝐧𝐭 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐨𝐮𝐯𝐫𝐞 𝐬𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝟐𝟓 𝐚𝐮 𝟐𝟖 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 ! 🌾

Des étudiants vétérinaires seront présents tout au long de l'événement pour réaliser des examens cliniques gratuits sur vos animaux, sous la supervision de vétérinaires.
C’est une belle occasion de faire examiner votre compagnon tout en soutenant la formation des vétérinaires de demain ! 🩺

📍 Retrouvez également le 𝐃𝐨𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐌𝐚𝐫𝐜𝐡𝐚𝐧𝐝 sur le stand de l’UPV (Union Professionnelle Vétérinaire) ce 𝐬𝐚𝐦𝐞𝐝𝐢 et 𝐝𝐢𝐦𝐚𝐧𝐜𝐡𝐞, pour échanger, poser vos questions et en apprendre davantage sur le métier vétérinaire ainsi que 𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐣𝐞𝐮𝐱 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧.

On vous y attend nombreux, avec ou sans vos animaux ! 🐶🐱

Adres

Rue Saint Roch 36A
Écaussinnes-d'Enghien
7190

Openingstijden

Maandag 08:30 - 19:00
Dinsdag 08:30 - 18:00
Woensdag 08:30 - 18:00
Donderdag 08:30 - 18:00
Vrijdag 08:30 - 18:00
Zaterdag 09:00 - 12:00

Telefoon

067/44.47.12

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