
26/08/2025
"Car pour faire du fromage, il faut du lait" : le problème que posent TOUS les produits laitiers, et pas seulement la mozzarella di bufala. on aime le yogourth, le fromage, mais pour chaque yogourth, chaque fromage, il y a un bufflon, un veau, un cabri, un agneau sacrifiés, tués dans des conditions innommables parce que c'est juste des animaux en surplus, en effet collatéral, et que tuer avec respect - si c'est possible... - c'est s'en donner les moyens compassionnels parce que c'est leur donner une valeur. mais l'élevage, et toute la production autour exigent de chosifier ces bêtes. pour le dire d'une manière bébête, une chose, sauf si elle a de la valeur (transctionnelle, affective, sociale, économique, etc.), n'a aucune valeur. une chose est manipulable, destructible, une chose est un rien matérialisé,. alors des bufflons enterrés vivants, des veaux tractés par une patte jusqu'à ce qu'elle se casse, etc. etc., tout ce que vous suggère votre imagination concernant les tortures infligées aux animaux a été ou sera vrai une fois ou l'autre. tant qu'on ne renonce pas au plaisir.
"Des buffles attachés et enterrés vivants, laissés agonisants en plein soleil, noyés ou privés de nourriture. Derrière la mozzarella di bufala se cache un véritable scandale, moins connu que celui qui avait éclaté en 2008 lorsque ce fromage italien avait fait les frais de la crise des déchets à Naples. Cette fois-ci, il concerne la maltraitance animale qui accompagne la production de cette denrée dont raffolent les Français – sur les 55 700 tonnes de mozza di bufala produites en Italie en 2024, plus du tiers étaient destinées à l’exportation et la France représentait à elle seule 32 % des exportations."
Plusieurs ONG et parlementaires italiens alertent sur le sort des petits des bufflonnes, de faible valeur économique, qui sont régulièrement abandonnés ou tués illégalement par les éleveurs.