07/04/2025
Du grand n'importe quoi !!! Maintenant nous sommes harcelés par des maltraitants ... la bonne blague !!!!
‼️‼️Chronique d’une protection animale dérangée ‼️‼️
Il était une fois …
Mensonge, manipulation, menace ✅
Je vais vous raconter une histoire qui dure depuis plus d’un an. Je vais essayer de ne rien oublier, aucun détail, que ce soit sur les faits ou la chronologie. Les noms ont été changés. Je vais donc vous parler de la toute-puissance des maltraitants en France, et surtout de celle de Dame F.N, ainsi que de la manipulation de Madame K.K.
Le début de l’engagement
Il y a un an et trois mois, quatre associations se sont mobilisées pour engager une procédure contre une personne se présentant comme un défenseur de la protection animale.
Tout a commencé avec une vidéo d’une brutalité, diffusée sur les réseaux sociaux, montrant cette personne frapper un chien (je n’en dirai pas plus… nous l’appellerons Dame F.N, car remplie de haine).
Dès le lendemain, nous avons mandaté une bénévole avec une procuration pour déposer plainte. La procédure a duré de l’ouverture à la fermeture de la gendarmerie.
La confiscation des chiens ?
À notre grande surprise, Dame F.N a décidé, après cette plainte, de nous confier les quatre chiens qu’elle hébergeait, le temps de l’enquête.
Nous avons immédiatement sécurisé les animaux en les plaçant dans un refuge. Trois sont partis le soir même, le quatrième le lendemain, car réactif envers ses congénères impossible de la faire monter en voiture en même temps que les trois autre.
Le lendemain, nous avons découvert que l’une des chiennes appartenait légalement à une autre association en cours de dissolution. Ils ont décidé de nous la céder. Je l’ai aussitôt mise en sécurité en famille d’accueil.
Les autres chiens ont également quitté le refuge les jours suivants.
Oui oui ! Je me suis occupé de leur trouver des lieux sûrs et des bénévoles pour les transporter (aujourd’hui, on m’accuse de vol pour cela, entre autres).
Lors des examens vétérinaires, trois des quatre chiens étaient en mauvais état (je vais rester très factuel) :
- La chienne que nous avons prise en charge (légalement, rappelons-le) souffrait de multiples plaies et cicatrices dues à des bagarres. Pire encore, elle était épileptique, sans aucun traitement ni information fournie.
- L’un des Amstaff avait de graves problèmes oculaires non soignés.
- La bergère était en sous-poids.
-L’un des Amstaff été un senior
Les séquelles invisibles : des chiens brisés par la peur et le déni pour d’autre
Les quatre chiens portaient tous les mêmes stigmates : une terreur maladive face à des éléments ou bruit du quotidien. Mais je ne parlerai que de notre petite Rescue, celle que nous avons prise en charge, celle dont nous avons refait la vie.
Ses peurs parlaient pour elle :
- Le simple vue d'un balai la faisait uriner de terreur.
- Une voix un peu forte, même un rire ? Elle se cachait, tremblante et ce faisait p**i dessus.
- Les bruits du quotidien (une porte qui claque, des pas dans l'escalier) la transformaient en statue de panique.
Ces réactions ne mentent pas.
Elles racontent ce qu'elle a subi.
Elles crient ce qu'elle ne peut pas dire.
Aujourd'hui, après des mois de patience :
- Elle ose jouer sans sursauter à chaque mouvement.
- Elle dort profondément, sans cauchemars visibles.
- Elle apprend à faire confiance, pas à pas.
Mais certaines cicatrices sont permanentes.
Et ça, c'est votre héritage, Dame F.N.
Aucun ne disposait de papiers, carnet de santé, ou preuve de vaccination. Nous ignorions même s’ils étaient catégorisés !
La question des chiens catégorisés ?
Par précaution, deux vétérinaires, dans des régions différentes, ont pratiquer des diagnose de race sur deux des chiens et ont révéler comme étant de première catégorie (chiens considérés comme dangereux et soumis à législation de la loi 99).
Nous avons alors décidé de partager les frais vétérinaires entre associations car nous étions 4 pour cette mise en sécurité.
- L’un des Amstaff a été placé chez l’un des enfants de celle que nous appellerons Dame K.K (présidente d’une des associations impliquées).
- L’autre a été envoyé dans un refuge partenaire en transit.
- La bergère, décrite comme un "monstre" par sa propriétaire, a été placée dans un autre refuge.
L’abandon d’un reptile et les accusations mensongères!
Entre-temps, Dame F.N a déserté son domicile, abandonnant un reptile dans des conditions de détention épouvantables. Nous l’avons conduit en urgence avec l’accord de la gendarmerie chez un vétérinaire, mais il est malheureusement décédé (déshydratation et malnutrition calcification au niveau de l’anus le certificat est accablant).
Pourtant, Dame F.N nous a accusés de l’avoir tué… née avant la honte comme dirait quelqu’un. 😉
Fraude et harcèlement
En pleine procédure, Dame F.N a frauduleusement modifié l’ICAD d’un des Amstaff (catégorie 1, donc cession interdite !) au profit d’un membre de sa famille, antidatant le document.
Si elle était si sereine pourquoi ce changement ? Peut être qu’elle ne pouvait pas le posséder ? Parce qu’ il faut un casier vierge ?
S’en est suivi un harcèlement intense :
menaces, insultes , intimidations par mail, vocaux, appels téléphoniques et réseaux sociaux. La violation de nos droits et l’escalade des menaces
Dans le cadre de la procédure, nous avons dû fournir des attestations des hébergeurs des chiens, documents transmis au tribunal.
Problème :
l’avocat de Dame F.N lui a remis ces attestations, lui donnant accès à des informations confidentielles, lieu où ce trouver l’un des chiens.
Ainsi que nos photocopies de pièces d’identité ont été illégalement partagées et transmis a dame F.N.
Résultat ?
Une nouvelle vague de harcèlement :
- Appels et mails menaçants ("Vous allez me les rendre ou vous le regretterez" ou "Je vais vous enterrez").
- Intimidation sur les réseaux sociaux (faux comptes, commentaires et post diffamatoires avec nos noms et prénoms).
- Utilisation de nos données personnelles comme une arme ("Je sais où vous habitez").
Elle exigeait la restitution des 4 chiens, alors que :
- L’un ne lui a jamais appartenue.
- l’un avait été cédé illégalement.
- La procédure était toujours en cours.
Les plaintes fusent…
Dame K.K a finalement porté plainte contre Dame F.N et son complice familial pour harcèlement.
Monsieur J.C (membre d’une des associations) également.
La 1er trahison
Le refuge hébergeant la bergère a sous la menace, rendu la chienne à son bourreau. Quelle lâcheté ! Comment peut-on, au nom de la "paix sociale", renvoyer un animal dans l’enfer qu’on l’a pourtant aidé à fuir ?
Aaaah quel homme !
Scandalisés, nous avons juré de ne jamais rendre les autres.
Notre serment : plus jamais ça !
Ce jour-là, nous avons fait le serment :
- Quoi qu’il nous en coûte, ces chiens ne retourneront jamais entre les griffes de leurs tortionnaires.
- Quelles que soient les menaces, les procédures de manipulations, nous ne reculerons pas.
Notre boussole ?
Leur sécurité. Leur bien-être. Rien d’autre.
Première procédure judiciaire : une injustice flagrante
L’injustice institutionnalisée
Le comble de l’absurdité:
La première décision de justice a condamné… la personne ayant diffusé la vidéo des violences, celle-là même qui avait alerté le public sur les agissements de Dame F.N !
Quant à cette dernière ? Un simple rappel à la loi pour mauvais traitement; comme si les coups portés au chien, le reptile mort de négligence n’étaient que des "détails".
Réaction immédiate:
Nous avons lancé une nouvelle procédure. Malgré les obstacles
– je ne pouvais pas être représenté par un avocat pour me constituer partie civile (merci les subtilités juridiques l’association n’avait pas 5ans) , j’ai assumé de participer aux frais d’avocat. Parce qu’on ne lâche rien.
La fuite en avant sécuritaire
Sous la pression constante de Dame F.N, l’Amstaff en transit chez notre partenaire n’y était plus en sécurité. Solution ? La faire rejoindre son compagnon chez la progéniture de Dame K.K.
Ironie du sort : celle qui se disait menacée par Dame F.N hébergeait désormais deux de ses victimes.
Verdict : Le déni des souffrances
Résultat des courses ?
- "Tout va bien", selon la justice.
- Le reptile mort dans d’atroces souffrances ? Aucune suite.
- Les menaces de mort, les animaux non soignés et les coups ? Classé sans suite ?
Conclusion amère :
La justice française a brillé par son aveuglement volontaire. Mais nous, nous continuerons à nous battre. Parce que les loulous, eux, n’ont pas le choix.
Un répit précaire
Point juridique crucial :
Aucun ordre de restitution n'a été émis - et pour cause !
Les chiens nous avaient été confiés volontairement par Dame F.N elle-même en début de procédure.
Un détail que la justice, aussi laxiste soit-elle, ne peut ignorer.
Notre situation est ce moment la :
1. Nous attendons la suite de la procédure pour abus de confiance contre Dame F.N
2. Nous guettons le risque (absurde) d'un éventuel ordre de restitution
3. Nous continuons à protéger les chiens comme nous l'avons toujours fait
Le revirement de Dame K.K
Des Comportements de Plus en Plus Trouble
Pendant que nous subissions les assauts répétés de Dame F.N sur les réseaux sociaux, un autre danger se profilait: celui de notre propre alliée.
Dame K.K, autrefois en première ligne, a commencé à adopter un comportement pour le moins... incohérent:
- Elle affirmait par écrit ne plus avoir les chiens, avant de nous envoyer, deux jours plus t**d, des photos des Amstaff.
- Elle prétendait les avoir confiés à une autre association impliquée dans le dossier, puis donnait une nouvelle version: ils seraient chez J.C., un bénévole de cette même association.
- Les nouvelles des deux chiens se sont raréfiées, si ce n’est une
inquiétante rumeur : l’un des deux, le senior, souffrirait d’un cancer de la rate (vu par son vétérinaire en février, disait-elle).
Roulement de tambour… la révélation…
Après plus d’un an de déni à :
- Ignorer systématiquementles appels de Dame F.N
- Porter plainte contre elle à plusieurs reprises.
- S’équiper de caméras par peur des représailles à son domicile.
- Nier par écrit avoir jamais avoir eux les chiens ("J’ai juste payé une facture vétérinaire !"ou "Quel chien? Connait pas")
- Accuser d’autre association d’avoir récupéré l’un des Amstaff pour se dédouaner
Dame K.K a soudainement… contacté Dame F.N !
Aujourd’hui, elle prétend que nous les aurions récupérés, alors que :
- Nous n’avons plus de nouvelles des deux Amstaff depuis des mois.
- L’un serait gravement malade (cancer de la rate).
L’inquiétude grandissante
Face à ce revirement, nous nous demandons :
ces chiens sont-ils encore en vie ?
Dame K.K, après s’être prétendue menacée, copine maintenant avec une maltraitante. Et cela survient juste après avoir été dénoncée pour euthanasie de complaisance.
Coïncidence ?
Le Retournement de Veste Inqualifiable désormais, elle :
1. Prétend m’avoir "remis le chien à ma demande" (une pure invention)
2. Côtoie ouvertement celle qu’elle dénonçait hier comme une maltraitante
3. Balance des versions contradictoires :
- Que seule sa nouvelle amie F.N croit avec 2 de QI
- Qui ne tiendrons pas devant la justice
La raison de ce revirement ?
Une dénonciation d’euthanasie de complaisance dans son association.
Plutôt que de se justifier, elle a choisi :
- La vengeance (en nous impliquant dans ses mensonges)
-La paranoïa et les coups bas
Une Gestion plus que Suspecte
Comment croire une personne qui :
1. Change constamment de version sur la localisation des chiens ?
2. Ne fournit aucun compte-rendu vétérinaire alors qu’un des animaux est gravement malade ?
3. Ignore nos demandes de preuves de vie malgré nos multiples relances ?
Nous étions en droit de nous demander :
- Ces chiens étaient-ils toujours en sécurité?
- Étaient-ils même toujours en vie ?
Notre position reste inchangée !
Nous assumons avoir sauvé une chienne, soignée et placée en adoption gratuite (sous couvert de l’association pour sa sécurité).
Et ma collègue d’avoir été un lieu de transit le temps de soin.
Mais nous refusons d’endosser des actes que nous n’avons pas commis.
Et encore moins sans savoir si ils sont toujours en vie !
Aujourd’hui, nous subissons un acharnement :
signalements abusifs à la DDPP, calomnies, harcèlement, menaces, insultes, diffusion de nos coordonnées à de tierce personnes et diffusion d’extraits de conversations privées tronquées et sortie de leur contexte.
Mais surtout, nous sommes terriblement inquiets pour ces deux chiens disparus.
En Conclusion : Un système défaillant
Entre maltraitants impunis, associations corrompues et justice aveugle, la protection animale en France est un combat sans fin avec des monstres dans nos propres rangs.
Mais nous ne lâcherons rien.
Parce que leur sécurité et leur bien-être sont notre seule motivation.
Alors on attend des réponses dame K.K !
Enfin, la Vérité Assumée
À Dame la Haine,qui ose prétendre que nous "claquons des fesses" :
Non, nous ne tremblons pas. Nous sommes juste épuisés.
- Épuisés par vos mensonges aussi incohérents que ceux de votre nouvelle complice, Dame K.K.
- Épuisés de répéter ce que votre entêtement refuse d’entendre : nous ignorons où sont vos chiens.
Après 24 messages et 10 appels ignorés, après des mois de calomnies et de harcèlement, oui :
Nous avons décidé de vous insulter et de bloquer.
Pas par haine, mais par lassitude face à votre mauvaise foi crasse.
La Fin du Dialogue ‼️
Votre refus de comprendre (ou d’admettre) la réalité ne mérite plus :
- Nos explications, que vous déformez.
- Notre patience, que vous épuisez.
- Notre respect, que vous n’avez jamais mérité.
Désormais, seule la justice parlera.
En attendant, épargnez-nous vos jérémiades. Les chiens que vous avez maltraités, négligés dont vous vous soucier seulement à des heures t**dives et toujours dans un drôle d’état …
⚠️⚠️ Note ⚠️⚠️
Ce récit est basé sur des faits réels, les noms ont été modifiés pour des raisons légales.
Il ne s’agit pas non plus d’un appel à la haine… Juste d’une mise au point ! Merci de ne citer personne 😉
Lyly