Elevage De Ma Campagne Dorée - Labrador -

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Passionnés et amoureux inconditionnels des animaux, nous "élevons" dans un environnement purement familial, des Labradors (lignée de travail)
Nos animaux sont nos amis du quotidien.

La douce 🖤 Tokyo 🖤Souvenez-vous... c'est la fille de Obie.. et c'était la plus speed de sa portée... Nous l'avions gardé...
13/08/2025

La douce 🖤 Tokyo 🖤
Souvenez-vous... c'est la fille de Obie.. et c'était la plus speed de sa portée... Nous l'avions gardé par amour certes.. mais aussi parce que nous ne voulions pas la céder a des familles avec de jeunes enfants.. tellement son tempérament était de feu...

A 3 ans 1/2, elle s'est mariée pour la 1ère fois.. avec le Don Juan Uko De Ma Campagne Dorée (couleur redfox🧡)..

Pas un seul jour je regrette le destin de l'avoir mise sur notre route..
Il n'y a pas de hasard.. bien que des rendez-vous..
Et ma belle Tokyo est une vraie pépite.. comme sa maman Obie..

Elle est plutôt de taille petite, est d'un calme olympien et d'un comportement exemplaire..
L'instinct maternel est chez elle inné..
Elle gère de Ouf comme Obie.

Pour sa grande première,
🖤 4 ptits mecs ♂️♂️♂️♂️
Et
🖤 4 gonzesses ♀️♀️♀️♀️
Ont vu le jour la nuit dernière

Tout mon beau ptit monde va très bien..

La vie est AMOUR 🖤💛🧡🤍❤️

12/08/2025

Quelqu'un peut m'expliquer pourquoi les mises bas de mes toutounes se déroulent essentiellement la nuit ?🤪🤣🤣

2ème nuit agitée prévue..

Histoire a suivre...

Et vivement demain soir, qu'on se couche❤️

Obie a géré de ouf...Derniers labrabébés pour cette si belle labradorable..Et pour cette dernière, la surprise est à son...
12/08/2025

Obie a géré de ouf...
Derniers labrabébés pour cette si belle labradorable..
Et pour cette dernière, la surprise est à son comble.. mais Obie nous avait déjà surpris en 2021.. avec des petits sablés..

Souvenez vous aussi de 2020, une portée de Just Sologne Hunters's... où 10 mâles avaient montrés le bout de leur truffe.. avec une surprise sablée femelle mais malheureusement décédée...

Et bien Obie nous a fait un beau mix de ces 2 histoires du passé..
Un mélange sablé/noiraud et une grande majorité de ....

Mâles ♂️♂️♂️♂️♂️♂️🖤🖤🖤🖤🖤💛
Pour 2 femelles ♀️♀️💛💛

🤣🤣
Comme à mon habitude, l'humour et la positive attitude sont mes mots sacrés...

Merci au si beau Saumur pour cette dernière union..
J'ai déjà hâte de voir leur évolution..

Je compte sur vous pour partager.

Nous attendons avec impatience les labrabébés de Tokyo.. peut-être aura-t-elle que des labrafilles ??? Pensez vous que ce soit possible 🤪

12/08/2025

La nuit fût courte.. et la journée continue..
Travail toujours en cours.. pour Obie.
Quelques surprises.. et comme un air de déjà vécu....
A vos pronostics...
🖤 💛 ♂️ ♀️

Indice : ça promet...

11/08/2025

Le 11 ou le 12 🤔🤔🤔

Obie ou Tokyo la prems ??

🖤🖤🖤🖤🖤🖤🖤🖤

❤️
08/08/2025

❤️

Écrit par un vétérinaire.

Un jour, j’ai recousu la gorge d’un chien avec du fil de pêche, à l’arrière d’un pick-up, pendant que son propriétaire tenait une lampe torche entre les dents et pleurait comme un enfant.

C’était en 79, peut-être 80. Juste à la sortie d’un petit bled, près de la frontière du Tennessee.
Pas de clinique, pas de table propre, pas d’anesthésie à part un peu de tord-boyaux.
Mais le chien a survécu.
Et cet homme m’envoie encore une carte de Noël chaque année, même si le chien est mort depuis longtemps… et sa femme aussi.

Je suis vétérinaire depuis quarante ans.
Quatre décennies de sang sous les ongles et de poils sur les vêtements.
À l’époque, on faisait avec ce qu’on avait — pas avec ce qu’on pouvait facturer.
Aujourd’hui, je passe la moitié de mes journées à expliquer des codes d’assurance et des plans de financement, pendant qu’un beagle se vide de son sang dans la pièce d’à côté.

Je croyais que ce métier consistait à sauver des vies.
Maintenant je sais : il s’agit surtout de ramasser les morceaux quand tout s’écroule.

J’ai commencé en 1985.
Fraîchement diplômé de l’Université de Géorgie. J’avais encore mes cheveux. Et de l’espoir.
Ma première clinique était un bâtiment en briques, au bout d’un chemin de gravier, avec un toit qui fuyait à la moindre averse.
Le téléphone était à cadran, le frigo faisait un bruit de moteur, et le chauffage ne fonctionnait que quand ça lui chantait.
Mais les gens venaient.
Des fermiers, des ouvriers, des retraités, même des routiers avec des pitbulls assis sur le siège passager.

Ils ne demandaient pas grand-chose.

Une piqûre par-ci. Une suture par-là.
Et l’euthanasie, quand il était temps — et on savait toujours quand c’était le moment.
Il n’y avait pas de débat, pas de culpabilisation sur les réseaux sociaux, pas de “protocoles alternatifs”.
Juste cette entente silencieuse entre une personne et son chien : la souffrance était devenue trop grande.
Et ils me faisaient confiance pour porter ce poids.

Parfois, je prenais mon vieux pick-up et j’allais jusqu’à une grange, là où un cheval s’était cassé la jambe.
Ou bien sur un porche, où un vieux chien n’avait rien mangé depuis trois jours.
Je m’asseyais à côté du propriétaire, je lui tendais un mouchoir, et j’attendais.
Je ne précipitais rien.
Parce qu’à cette époque, on les tenait dans nos bras jusqu’au bout.
Aujourd’hui, les gens signent des papiers et demandent s’ils peuvent “revenir chercher les cendres la semaine prochaine”.

Je me souviens de la première fois où j’ai dû endormir un chien.
Un berger allemand nommé Rex. Il avait été percuté par une moissonneuse.
Son maître, Walter Jennings, vétéran de la Seconde Guerre mondiale, dur comme le fil barbelé et deux fois plus tranchant.
Mais quand je lui ai dit que Rex était perdu, ses genoux ont lâché.
Là, dans ma salle d’examen.

Il n’a rien dit. Il a juste hoché la tête.
Et puis — je ne l’oublierai jamais — il a embrassé le museau de Rex et a murmuré :
« Tu as été un bon chien, mon gars. »
Puis il s’est tourné vers moi :
« Fais-le vite. Ne le fais pas attendre. »

Je l’ai fait.

Cette nuit-là, je n’ai pas dormi.
Je suis resté assis sur mon perron avec une cigarette, à fixer les étoiles jusqu’à l’aube.
C’est là que j’ai compris : ce métier ne parle pas que d’animaux.
Il parle d’amour.
De l’amour que les gens versent dans un être qui, ils le savent, ne vivra jamais aussi longtemps qu’eux.

Nous sommes en 2025 maintenant.
Mes cheveux sont blancs — ce qu’il en reste.
Mes mains ne coopèrent plus toujours. Il y a un tremblement qui n’était pas là au printemps dernier.
La clinique existe toujours, mais elle a maintenant des murs blancs immaculés, un logiciel par abonnement, et un responsable marketing de 28 ans qui me dit de filmer des TikToks avec mes patients.
Je lui ai dit que je préférerais me castrer moi-même.

Avant, on travaillait à l’instinct.
Maintenant, ce sont des algorithmes et des formulaires de responsabilité.

La semaine dernière, une femme est venue avec un bulldog en détresse respiratoire.
Je lui ai dit qu’il fallait l’intuber et le garder en observation.
Elle a sorti son téléphone et m’a demandé si elle pouvait demander un deuxième avis à une influenceuse qu’elle suit en ligne.
J’ai hoché la tête.
Qu’est-ce que tu veux répondre à ça ?

Parfois, je pense à prendre ma retraite.
J’ai failli le faire pendant le COVID.
Un cauchemar.
Des dépôts en voiture sur le parking, des aboiements derrière des portes closes, des masques qui cachaient les larmes.
Des adieux à travers une vitre.
Personne ne les tenait quand ils partaient.

Quelque chose s’est brisé en moi à ce moment-là.

Mais parfois, un enfant entre avec une boîte pleine de chatons trouvés dans la grange de son grand-père, et ses yeux s’illuminent quand je lui permets d’en nourrir un.
Ou je recouds un golden retriever qui s’est frotté de trop près à une clôture barbelée, et le lendemain, son maître m’apporte une tarte aux pacanes.
Ou un vieux monsieur m’appelle juste pour me dire merci — pas pour le soin, mais parce que je suis resté assis avec lui après la mort de son chien, sans dire un mot, laissant le silence faire le travail.

C’est pour ça que je continue.

Parce que malgré tous les changements — les applis, les formulaires, les procès, les diagnostics Google — une chose n’a pas changé :

Les gens aiment toujours leurs animaux comme leur propre famille.

Et quand cet amour est profond, il se manifeste dans des gestes simples.
Une main tremblante posée sur un flanc velu.
Un adieu murmuré.
Un portefeuille vidé sans hésiter.
Un homme adulte qui craque dans mon bureau parce que son chien ne verra pas l’automne.

Peu importe l’époque, la technologie, les tendances — ça, ça ne change pas.

Il y a quelques mois, un homme est entré avec une boîte à chaussures.
Il avait trouvé un chaton près des rails. Patte brisée, couvert de puces, les côtes saillantes comme les touches d’un piano.
Lui-même avait l’air de sortir de l’enfer.
Il m’a dit qu’il venait de sortir de prison, qu’il n’avait pas un sou.
Mais est-ce que je pouvais faire quelque chose ?

J’ai regardé dans la boîte.
Le chaton a ouvert les yeux et a miaulé comme s’il me reconnaissait.
J’ai hoché la tête :
« Laissez-le ici. Revenez vendredi. »

On lui a immobilisé la patte, donné du lait tiède toutes les deux heures, on l’a appelé Boomer.
Vendredi, l’homme est revenu avec une tarte à moitié mangée et des larmes dans les yeux.
Il m’a dit :
« Personne m’a jamais rien rendu sans me demander d’abord ce que j’avais à offrir. »

Je lui ai répondu :
« Les animaux se fichent de ce que tu as fait.
Ils ne regardent que comment tu les tiens dans tes bras. »

Quarante ans.

Des milliers de vies.

Certaines sauvées. D’autres non.

Mais toutes ont compté.

J’ai un tiroir, dans mon bureau.
Fermé à clé.
Personne n’y touche.
À l’intérieur, il y a des vieilles photos, des mots de remerciement, des colliers, des médailles.
Un os à moelle d’un border collie nommé Scout qui a sauvé un enfant de la noyade.
Une empreinte en argile d’un chat qui dormait sur le comptoir d’une station-service.
Un dessin aux crayons de cire d’une petite fille qui m’a écrit que j’étais son héros parce que j’avais aidé son hamster à respirer de nouveau.

Je l’ouvre parfois, t**d le soir, quand la clinique est vide et que mes mains sont enfin calmes.

Et je me souviens.

Je me souviens du temps d’avant.
Avant les écrans.
Avant les applis.
Avant les remèdes de buzz et les contrôles de crédit.

Quand être vétérinaire, c’était rouler dans la boue à minuit parce qu’une vache mettait bas et qu’on était le seul en qui ils avaient confiance.

Quand on recousait avec du fil de pêche… et beaucoup d’espoir.

Quand on les tenait dans nos bras jusqu’à la fin — et qu’on tenait leurs humains aussi.

S’il y a une seule chose que j’ai apprise dans cette vie, c’est celle-ci :

On ne peut pas tous les sauver.

Mais on doit tout faire pour essayer.

Et quand vient le moment de dire adieu…
on reste.
On ne recule pas.
On ne presse rien.
On s’agenouille, on les regarde dans les yeux,
et on reste jusqu’à ce que leur dernier souffle quitte la pièce.

Ça, on ne vous l’enseigne pas.
Ni à la fac. Ni dans les livres.

Mais c’est ça… qui vous rend humain.

Et je ne l’échangerais pour rien au monde.

🖤🖤🖤🖤🖤🖤🖤🖤🖤🖤🖤Le compte a rebours est lancé J-10 max.. pour Tokyo et Obie..Oui oui, c'est confirmé !Les radiographies ont p...
04/08/2025

🖤🖤🖤🖤🖤🖤🖤🖤🖤🖤🖤
Le compte a rebours est lancé
J-10 max.. pour
Tokyo et Obie..
Oui oui, c'est confirmé !
Les radiographies ont parlé 🖤
Obie et Tokyo seront belles et bien maman ..
Tokyo pour la première fois
Obie pour sa dernière fois..

Toutes 2 se portent a merveille
Y'a "un peu" de monde dans le bidon 🤣

Cette nouvelle aventure, je tiens a la partager avec vous..

Les réservations sont ouvertes
Pour rappel :

Obie De Ma Campagne Dorée 🖤
Et
Saumur Connivence 🖤

Tokyo De Ma Campagne Dorée 🖤
Et
Uko De Ma Campagne Dorée 🧡

Labrabébés essentiellement noirs attendus.. avec une surprise possible 🧡💛

A Serise, Tina, Pacha, Mitch...  ceux de mon enfance.. et toutes celles qui m'accompagnent encore aujourd'hui Je ne suis...
02/08/2025

A Serise, Tina, Pacha, Mitch... ceux de mon enfance.. et toutes celles qui m'accompagnent encore aujourd'hui Je ne suis pas parfaite.. mais espère vraiment vous avoir rendu, ou vous rendre heureux...

Les "après" qu’on ne vivra plus

Je pensais avoir le temps.
Toujours.
Demain pour une balade.
Ce week-end pour un bain.
Plus t**d pour jouer.

Je repoussais les instants, sans jamais imaginer qu’un jour, tu ne serais plus là pour les attendre.
Je regardais ta gamelle, ton panier, ton regard insistant.
Et je me disais : « Pas maintenant. Après. »

Mais l’« après » n’est jamais revenu.

Maintenant, il y a le silence.
Le vide dans le salon.
L’écho d’un museau qui ne frappe plus à la porte.
Et moi, assis là, avec le poids de tout ce que je n’ai pas fait.

Je me souviens de ton enthousiasme.
De ta joie pour un rien.
Et moi, englué dans mes tâches, mon téléphone, mes "urgences" humaines.

Je n’ai pas mesuré ton amour à sa juste valeur.
Pas assez.
Et je m’en veux.

Mais je sais que tu ne m’en aurais pas voulu.
Tu m’aurais encore accueilli, les yeux pleins de lumière, la queue battant le sol, juste heureux que je sois là.

C’est ça, le drame.
Tu étais toujours prêt.
Et moi, souvent ailleurs.

Aujourd’hui, je voudrais qu’on m’offre cinq minutes.
Cinq minutes pour te dire que j’ai compris.
Que j’ai mal.
Et que je t’aime, même si je te l’ai trop peu dit.

Tu as volé mon cœur sans bruit.
Et tu es parti avec un morceau que je ne retrouverai jamais.

01/08/2025

La photo de 1902 montre les tailleurs de couteaux en France alors qu’ils travaillent allongés sur leur ventre. Cette position inhabituelle était utilisée pour protéger le dos de l’effort et éviter de se courber toute la journée. Une partie de leur routine consistait à s’allonger sur le ventre pendant qu’ils affûtaient leurs lames, surtout dans des endroits comme Thiers, célèbre pour la fabrication de couteaux.
Curieusement, les travailleurs avaient également des chiens couchés sur leurs jambes pour se réchauffer, ajoutant un détail extravagant à cette pratique historique.

27/07/2025
🍒🍒🍒🍒🍒 sur  le 🎂🎂🎂🎂🎂Semaine du 11 Août...Que nous arrivera-t-il???? 🤔🤔Tokyo 🖤 et Uko 🧡Obie 🖤 et Saumur 🖤Je dois vous avou...
24/07/2025

🍒🍒🍒🍒🍒 sur le 🎂🎂🎂🎂🎂

Semaine du 11 Août...
Que nous arrivera-t-il???? 🤔🤔

Tokyo 🖤 et Uko 🧡
Obie 🖤 et Saumur 🖤

Je dois vous avouer que je n'ai pas fait d'échographie a Tokyo et Obie...

Non pas par manque de temps ni argent.. mais par envie de laisser faire les choses..

Je suis toutefois aller a la pesée lundi.

Le mois de juin a tellement était riche en émotions et palpitations, que je laisse mes toutounes respirer, vivre et profiter..
Et je nous laisse la surprise de ce qui peut ou pas arriver...

Comme je vous dis tout, je peux vous dire que Toky a pris 2kgs et Obie 1,7kgs..

Je peux aussi vous dire que Tokyo a changé.. qu'elle est devenue précieuse pour sa gamelle (comme sa gd mère Just lors de ses gestations).. A 3 ans 1/2 on croise les 🤞🤞🤞 pour sa 1ère portée 🧡🖤

Je peux aussi vous dire que pour Obie j'ai de très gros doutes... ma douce et vive Obie est Svelte.. ces derniers mois, on a eu quelques difficultés a lui faire prendre du poids (Vive les labs de travail😜). Elle a donc pris 1,7kgs OUF... mais Obie est longue et grande.. sur ses précédentes portées, elle avait tout bien cacher.. Seb dit que c'est OK.. moi je suis vraiment très septique.. j'ai augmenté ses rations depuis longtemps déjà.. donc est-ce cela qui fait qu'elle ait enfin pris du poids ou autre chose... verdict bientôt..

Selon leur évolution (Tokyo assurément)... une radio (inévitable a mon sens pour moi) sera réalisée le 9 août (jour de la St Amour et grand jour pour mon couple ❣️👰‍♀️🤵‍♂️👩‍❤️‍👨)

Je peux déjà vous dire que les réservations sont officiellement ouvertes 🥰🖤🧡

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Le labrador, une passion au quotidien

J’ai moi même grandi avec de nombreux chiens... Tous pour la plupart issus de refuge.. Des amours... Duchesse “Duche Duche”, Câline, Pauline, Choupette, Bélotte, Princesse, Daika, Lilas... Tous, enfin toutes, car oui, nous n’avions que des femelles... étaient adorables..

Des heures incalculables de promenades dans nos Dunes de Flandres...

Puis c’est en 1999, alors âgée de 20 ans, en couple avec alors mon jeune mari.. que nous avons “récupéré” notre première chienne à nous.. Serise, Labrador Sable, non Lof, Parents non visibles, née dans une ferme... Un amour en tout point, qui nous aura comblée de bonheur durant 14 ans...

Pourtant, c’est en 2012, que mon mari, ardu de chasse depuis son plus jeune âge (beurkkkk!! lol), émet le souhait d’avoir un 2nd chien, toujours Labrador, mais avec des origines chasse, et un pedigrée...